19 - 26 juin 2023 Lettre à la présidence du CNRS et aux politiques locaux dénonçant la censure de la création musicale orchestrale et spatiale par les scientifiques du CEMES-CNRS. Une semaine après, aucune réponse, de personne. Ce test sert de révélateur, il démontre que les personnes responsabilisées par la hiérarchie sont en réalité incompétentes avec aucune volonté à trouver des solutions d'entente. La médiocratie cultive l'incompétence ou l'incompétence cultive la médiocratie ? Letter to the the CNRS presidency and to local politicians denouncing the censorship of orchestral and spatial music creation by the CEMES-CNRS scientists. A week later, no answer, from anyone. This test serves as a revealer, it demonstrates that people empowered by the hierarchy are actually incompetent by having no will to find understanding solutions. Mediocracy cultivates incompetence or incompetence cultivates mediocracy? Subject La Boule de Rangueil du CNRS à Toulouse : problème de communication spatiale et musicale ? From Mathius Shadow-Sky To Antoine Petit (président-directeur général) , Jérôme Guilbert (direction de la communication) , Christine Noiville (comité d'éthique) , Pascale Beyma (médiatrice) , Joël Moret-Bailly (référent déontologue) , Rémy Mosseri (référent intégrité scientifique) , Thierry Dauxois (directeur de l'institut de physique) , Jean-Luc Moudenc (maire de Toulouse) , Alain Couret (direction du CEMES) , Christian Joachim (direction CEMES) , Guy Molénat (chargé de la communication CEMES) , Carole Delga , Sébastien Vincini , contact@cd31.fr, Laurent Avizou (musicien des Guitares Volantes) , Francois Berchenko , Michaël Cohen Date 19.06.2023 15:36 LA BOULE.de.Rangueil.au...siteur_10.avril.2023.pdf(~946 KB) LA BOULE.de.Rangueil.au...doccupation.demandee.pdf(~240 KB) LA BOULE.de.Rangueil_co....mars.au.15.mai.2023.pdf(~76 KB) Objet : La Boule de Rangueil du CNRS à Toulouse, problème de communication spatiale et musicale ? Cette lettre est un appel à compétence pour résoudre un problème de compatibilité À la direction générale du CNRS : Antoine Petit (président-directeur général) , Jérôme Guilbert (direction de la communication) , Christine Noiville (comité d'éthique) , Pascale Beyma (médiatrice) , Joël Moret-Bailly (référent déontologue) , Rémy Mosseri (référent intégrité scientifique) , Thierry Dauxois (directeur de l'institut de physique) , Au maire de Toulouse président de Toulouse métropole : Jean-Luc Moudenc (maire de Toulouse) , À la direction du CEMES : Alain Couret (direction du CEMES) , Christian Joachim (direction CEMES) , Guy Molénat (chargé de la communication CEMES) , À la présidente de la région Occitanie : Carole Delga , Au président du conseil départemental de la Haute-Garonne Sébastien Vincini , , Au musicien spatial témoin : Laurent Avizou (des Guitares Volantes) , Au journaliste radio témoin : Michaël Cohen , Objet précisé de la lettre : Vouloir comprendre, les raisons du comportement de censure violente des scientifiques du CEMES-CNRS envers la recherche acoustique spatiale et la création musicale dans le contexte de la Boule de Rangueil localisée au CEMES-CNRS à Toulouse Et résoudre « ce conflit du silence » pour développer à Toulouse la musique spatiale instrumentale et orchestrale. Bonjour, 1. Présentation, sujet en question : Je m'adresse ensemble à la hiérarchie supérieure du CNRS, Pour savoir et comprendre les raisons de la censure des recherches acoustiques spatiales et des créations musicales au sein de La Boule de Rangueil par ses gérants : la direction du CEMES-CNRS. Il s'agit d'obtenir des réponses à des questions sans réponses. Dues au mutisme des scientifiques censeurs du CEMES-CNRS. Puis en +, ou à côté, s'enquérir : La recherche acoustique spatiale pour la création musicale existe-t-elle au sein du CNRS ? Existe-t-il en France des acoustiques architecturales particulières connues du CNRS, et lesquelles ? Et : au maire de Toulouse, à la présidente de la région Occitanie, au président du conseil départemental de la Haute-Garonne pour ensemble trouver une solution à ce qu'existe la musique spatiale orchestrale à Toulouse. 2. Triste et incompréhensible expérience avec le CEMES-CNRS à Toulouse pour la recherche et la création acoustique spatiale À Rangueil, à Toulouse, il existe un bâtiment unique sphérique en acier qui ne sert plus depuis 1991. Un bâtiment unique qui ne sert à rien depuis 32 ans ? Ce bâtiment unique sphérique est sur le territoire du CEMES-CNRS. Vous le savez, La Boule servait à abriter l'accélérateur d'électrons pour alimenter le 1er microscope à électron français. Les Cemesiens en sont fiers : Charles De Gaulle a inauguré le site en 1959. La raison de sa sphéritude est inexplicable et inexpliquée. Reste la vision spectaculaire du bâtiment, toujours entretenu pour briller de l'extérieure [telle une boule de pétanque géante]. Le CEMES ne s'occupe pas d'acoustique spatiale ni de musique spatiale. Pourtant, les Cémesiens m'ont demandé d'écrire le projet de recherche et de création musicale spatiales. 1 mois de travail Pour se voir le 9 mai 2023 Interdire la recherche acoustique spatiale et la création musicale par la direction du CEMES dans La Boule de Rangueil qui ne sert à rien, ceci, sans consultation, ni entente, mais avec un mauvais et faux argument : « pas d'argent » (sic). Sachant qu'une recherche et une composition d'une telle ampleur se finance par la commande d'État. Pas par le CNRS. Mais pendant la visite du site, Guy Molénat, chargé de communication, me dit qu'un financement par le CNRS serait possible. Ou que le financement n'est pas un problème. Quelle est donc la véritable raison de cette censure ? La raison de cette lettre est de connaître les motifs : pour rouvrir le dialogue. Afin que la musique polytrajectophonique orchestrale se réalise à Toulouse. 3. Expérience de mésentente involontaire ? Un évènement est-il venu perturber la réputation de cet institut scientifique du CNRS ? Quant à la manière cavalière d'interdire et de rompre la communication entre la science et la musique. Ma recherche et composition donne à créer un lien de mutuel enrichissant autour du savoir sur l'audible spatial ; Concrétisable à La Boule de Rangueil à Toulouse au CEMES du CNRS. 4. Ma raison compositionnelle avec les acoustiques architecturales inouïes Mes musiques s'intéressent aux acoustiques architecturales inouïes, Jusqu'à concevoir et réaliser des architectures éphémères particulières pour ses auditions. Principalement en structure gonflable : depuis 1979, avec Ourdission créée à Londres en 1983 http://centrebombe.org/livre/1982a.html. à Montréal, à l'invitation du maire en 1999, je conçois Ourdission génération² : Musique spatiale dans un refuge instrument de musique gonflable http://centrebombe.org/ourdissionG2/1.html. La création musicale dans la Sky Sphere à Montréal m'a familiarisé avec l'acoustique des bâtiments sphériques. D'autres projets tel « A Floresta » (forêt musicale sur lac), musique aquatique pour des bâtiments arbres et chemins et dômes gonflables flottants ont été projetés à l'invitation du maire de Rio de Janeiro au Brésil en 2000 http://centrebombe.org/lcdlb+spag.htm. L'architecture donne un contexte propice à la musique pour entendre la musique ailleurs que là où elle est attendue : la salle de concert classique empêche la spatialité de la musique. Mon travail de recherche compositionnel développe ce que mes prédécesseurs ont ouvert la musique dans l'espace, tels Iannis Xenakis, Michel Redolfi (musique dans l'eau), Pierre Henri et Karlheinz Stockhausen. Le bâtiment « La Boule » m'a été indiqué par des amis journalistes passionnés de musique me disant excité à l'idée que je pourrais créer une musique spatiale inouïe dans et avec La Boule de Rangueil au CEMES. À visiter le site web du CEMES, je constate qu'un groupe de rock local a enregistré et tourné un clip dans la Boule. Ce qui donne à penser que La Boule de Rangueil au CEMES du CNRS est ouverte à la musique. Le contact email au CEMES me renvoie la réponse de Guy Molénat, chargé de communication du CEMES-CNRS. Qui m'invite cordialement à visiter La Boule et tester (pour comprendre) l'acoustique de La Boule. 5. Visite de La Boule le 3 avril 2023 Je découvre que La Boule de Rangueil au CEMES du CNRS est un paradoxe acoustique passionnant à comprendre pour le musicaliser. Une opportunité extraordinaire pour la création musicale spatiale instrumentale et orchestrale. 6. Écriture de 2 projets précis, le mois d'avril [publication pdf jointe en attachement] Guy Molénat me demande de constituer 2 dossiers pour présenter le projet de création musicale spatiale « à sa direction » [anonyme]. [dossiers pdf en attachement + publication publique à la page web : http://centrebombe.org/livre/2023-2024.html] Je m'informe sur le site du CEMES pour savoir qui est cette direction anonyme. 3 noms apparaissent dans l'organigramme du CEMES. 7. Interdiction de la recherche et création acoustique dans la Boule de Rangueil sans conversation ni dialogue ni entente Une semaine après, Guy Molénat m'informe que sa direction « décline le projet » (sic) : sans discussion, ni consultation ! Alors que dans un email, j'insistais disant que : Tout est discutable et négociable pour ajuster nos intérêts communs. Déclinaison avec une justification de mauvaise foi : « Le CEMES n'a pas 100 000€ pour la musique dans La Boule » (sic). Argument qui est le contraire de ce je disais : le CEMES n'aura rien à payer, sachant qu'une composition de cette envergure relève de la commande d'État d'une valeur de ~95 000 €, somme qui couvrira tous les frais de recherche et de création pendant l'année. 2023/2024. [Les échanges email en attachement en .pdf] Cette décision d'interdire est une volonté de condamnation par la direction du CEMES, Cette condamnation, rapportée par le chargé à la communication du CEMES, M'a profondément choqué. Aucune rencontre, aucune négociation, aucune entente, aucune compréhension mutuelle, n'ont été suscitées, encore moins réalisées. Je demande des explications de ce refus à Guy Molénat, le seul contact au CEMES-CNRS qui pour « clore notre échange » (sic, et pourquoi ?), juge ma requête « insultante et diffamante » (sic). [l'email en attachement montre la fausseté de son jugement]. Il existe donc un souci que je désire éclaircir pour que la recherche et la musique spatiales ne soient pas arrêtées. L'aventure de la musique spatiale architecturale a commencé en 1958 avec les compositeurs Iannis Xenakis et Karlheinz Stockhauzen, mes professeurs, que je développe depuis 44 ans, depuis 1979, 21 ans après. Pour que pointe au CEMES-CNRS la violence après la cordialité, il a dû se passer quelque chose. Mais quoi ? Toute communication est rompue par le chargé de communication du CEMES-CNRS ! La direction du CEMES ne répond pas après avoir envoyé 2 emails aux directeurs du CEMES les 24 mai et 2 juin * Si des querelles internes au CEMES existent, j'en suis étranger, Mais le bâtiment est public et la musique aussi. La Boule de Rangueil qui ne sert à rien peut servir à la recherche acoustique avec la musique spatiale architecturale polytrajectophonique. Je propose pour la recherche sonique du milieu de disposer des « variants acoustiques » qui par modifier l'acoustique intérieure de La Boule donnera à comprendre des phénomènes acoustiques inconnus. Lire le projet pdf et html + exemples sonores dans La Boule de Rangueil : http://centrebombe.org/livre/2023-2024.html Différemment de ce qui a été tenté à l'institut de coordination acoustique musique à Paris dirigé par Pierre Boulez où j'ai travaillé de 1980 à 1984, avec les parois motorisées de « l'espace de projection » pour obtenir 3 acoustiques différentes dans ce même endroit. Pour réaliser et développer mes recherches spatiales acoustiques à Toulouse, Je suis obligé de mettre en doute la décision sans appel de la direction du CEMES-CNRS et la disposition du CEMES-CNRS en tant que gérant de La Boule de Rangueil et du parc du site. Le site de La Boule est approprié pour être habité par la recherche spatiale acoustique pour la musique spatiale dont je suis le seul compositeur à développer l'écriture orchestrale en trajectoires : la musique polytrajectophonique ou choréosonique. http://centrebombe.org/dansleciel,lebruitdel'ombre.html Cette lettre est aussi adressée au maire de Toulouse président de Toulouse métropole Jean-Luc Moudenc qui me connait bien, à la présidente de la région Occitanie Carole Delga, au président du conseil départemental de la Haute-Garonne Sébastien Vincini, Car cette affaire est publique par l'existence du bâtiment et de la musique où il y a, sans doute, à trouver une solution amiable aimable ensemble. 8. Qu'attendre du CNRS ? Les acteurs responsables du CNRS peuvent-ils prendre en considération cette proposition de recherche et création acoustique spatiale et de création de musiques instrumentales orchestrales polytrajectophoniques ? Beaucoup d'autres en seraient ravis. Personne ne sait ni ne connaît l'expérience unique de la musique spatiale instrumentale des flux polytrajectophoniques. J'ai réalisé la 1ère oeuvre instrumentale polytrajectophonisée dans l'histoire de la musique : Ourdission pour flûtes dans l'espace de la vitesse des flux en 1983 à Londres. Oeuvre jamais réalisée par l'IRCAM qui se disait équiper pour réaliser ce type d'oeuvre qui en réalité ne l'était pas. Mais il y a +. L'intrusion des formats standardisés par le commerce des brevets du monde du cinéma dans le monde de la musique a perverti le sens et l'expérience de la musique spatiale et polytrajectophonique jusqu'à rejeter les machines génératrices de trajectoires en temps réel réalisé par des ingénieurs géniaux et ignorés tels le Québécois Anadi Martel et le Luxembourgeois Nicolas Holzem qui m'ont confié leurs machines pour réaliser mes créations polytrajectophoniques orchestrales (qui ont quitté le monde sourd de l'industrie audio), qu'aucun autre compositeur n'a jamais sollicité. Le milieu des compositeurs originaux est, depuis la politique culturelle des purges, rétréci. 9. Qui suis-je ? Je suis compositeur avec 44 ans de carrière de recherches d'inventions et de créations musicales dans le contexte censeur de l'originalité artistique qu'on connait depuis 42 ans. Je suis le seul compositeur français connu au XXIe siècle à développer , composer et rendre audible la musique instrumentale polytrajectorisée dans l'espace tridimensionnel, après Karlheinz Stockhausen et Iannis Xenakis, à développer ce qu'ils ont initié dans les années 50 60 70 du XXe siècle, et +. Je suis donc compositeur de musique savante. Mon apport à la théorie musicale occidentale en témoigne. http://centrebombe.org/dansleciel,lebruitdel'ombre.html Mes musiques considèrent l'espace, son acoustique et les polytrajectophonies possibles, Pour la composition des flux dans l'espace. Par mon activité artistique, je suis une personne publique devenue historique par mes créations et inventions musicales et mes développements théoriques. Ma maturité d'expériences à savoir des musiques spatiales orchestrales en architecture sonique est confirmée. Depuis 44 ans, je travaille en constance à l'invention musicale spatiale en contexte architectural : musiques constituées de multiples trajectoires instrumentales voltigeant dans l'espace tridimensionnel. Pour dire que tout ce que je crée passe à la postérité. Effectivement, insistons : Je suis le seul compositeur de ce pays (et des autres) depuis 1979 à créer des oeuvres musicales jouées avec les sons des instruments de musique voltigeant en temps réel dans l'espace. Je possède des machines uniques et exceptionnelles créées par des ingénieurs exceptionnels pour réaliser mes musiques polytrajectophoniques jouées par des musiciens. 10. Poursuivre l'histoire de la création musicale spatiale La musique spatiale avec l'idée de trajectoriser les sons dans l'espace tridimensionnel est née en 1958. Karlheinz Stockhausen et Iannis Xenakis sont les principaux initiateurs, ils étaient mes professeurs. Je commence la composition musicale spatiale en 1979. Aujourd'hui, à 62 ans, je représente la génération de compositeurs qui font évoluer la musique savante du XXe siècle au XXIe siècle. Les autres de ma génération, s'ils existent, me sont inconnus. C'est un fait su, je reste le seul à évoluer la musique savante spatiale instrumentale. Tellement le contexte social et politique est hostile à ces créations dans l'espace (public). 11. Question pour la recherche et la création acoustique spatiales Je cherche en France et ailleurs des acoustiques architecturales uniques et particulières pour y développer et créer des musiques orchestrales spatiales polytrajectophoniques : Qui se nomme : musique choréosonique des flux. Je développe depuis 44 ans : la danse sonique du jeu instrumental dans l'espace. Et, il faudrait, pour que ces merveilles valdinguantes s'entendent, un lieu/des lieux aux acoustiques étranges (telle La Boule de Rangueil) qui hébergent et la recherche et la création musicale spatiale. Que peut faire la direction du CNRS pour ça ? Que peut faire le maire de Toulouse président de Toulouse métropole pour ça ? Que peut faire la présidente de la région Occitanie Carole Delga pour ça ? Que peut faire le président du conseil départemental de la Haute-Garonne Sébastien Vincini pour ça ? Ensemble y aurait-il une solution suivit de résolutions ? 12. Les Guitares Volantes Notons que le quatuor à cordes électriques Les Guitares Volantes développe la musique spatiale instrumentale à Toulouse depuis 2017. Qu'aujourd'hui, l'ensemble enregistre son dixième album spatial, donné gratuitement pour favoriser l'opportunité d'entendre chez soi la musique voltigeant dans l'espace tridimensionnel, en disposant 8 petites enceintes dans sa pièce d'écoute. Les musiques des Guitares Volantes sont publiées au format flac octophonique 8 pistes audibles avec tous les lecteurs tel VLC et une interface audio numérique à 8 sorties. Le dixième album des Guitares Volantes, qui sortira en septembre 2023, réalise la musique du compositeur Jean-Yves Bosseur (auteur du fameux livre : Révolutions Musicales, histoire de la musique contemporaine depuis 1945). http://centrebombe.org/livre/guitares.volantes.html Dans l'attente, Cordialement, Mathius Shadow-Sky compositeur, chercheur, théoricien, musicien, ingénieur http://centrebombe.org 07 83 07 84 21 Note * Subject Re: Recherche acoustique spatiale et création musicale dans la Boule de Rangueil From Mathius Shadow-Sky To Alain Couret , Guy Molénat , Christian Joachim Copy Laurent Avizou Date 02.06.2023 18:16 Messieurs du CEMES, Votre mutisme dévoile clairement votre volonté de refus d'entente. Pourtant, c'est une amorce idéale pour le CEMES de partager, voire de se décharger : de laisser l'entretien de La Boule de Rangueil à une autre organisation. Vous avez vos raisons d'agir ainsi gouvernées par je ne sais quelles craintes : pour vouloir couper toute communication ! Vous m'obligez donc à en référer à la hiérarchie du CNRS à trouver sans vous une solution pour débloquer cette affaire. Profondément choqué Mathius Shadow-Sky compositeur, chercheur, théoricien, http://centrebombe.org Subject Recherche acoustique spatiale et création musicale dans la Boule de Rangueil From Mathius Shadow-Sky To Alain Couret Copy Laurent Avizou Date 24.05.2023 15:15 À Alain Couret directeur du CEMES Cher Monsieur, Je suppose que vous êtes au courant de mon projet de recherche acoustique spatiale et de création musicale pour La Boule de Rangueil. Pour rappel, je vous joins les 2 dossiers, écrits à la demande du CEMES avec l'échange de lettres entre Guy et moi : 3 fichiers pdf en attachement. En compilant * les emails échangés entre Guy Molenat et moi, entre le 22 mars et le 15 mai, je vois dans un de ses emails, votre adresse en copie. À consulter l'organigramme du CEMES, votre nom apparaît à la direction du CEMES avec 2 autres noms. Mais à consulter les sites du CNRS et de l'INP, un autre nom apparaît à la direction du CEMES qui n'est pas indiqué dans l'organigramme du CEMES : Christian Joachim. Le CEMES doit avoir ses raisons pour publier 3 noms à la direction du CEMES : A. Couret, B. Warot-Fonrose et M. Rougalle et non Christian Joachim, mais ça, ne me regarde pas. Ce qui me concerne est la manière dont la direction du CEMES, d'après Guy Molenat, a condamné sans dialogue, sans compréhension, ni négociation et, avec l'hypocrisie d'un faux argument : l'argent, pour interdire la recherche spatiale acoustique et la création musicale savante dans La Boule de Rangueil. Une manière inattendue de rejet d'un travail qui devait être négocié pour être partagé. Est-ce une manière d'agir selon la charte de déontologie du CNRS ? Comme je le disais à Guy dans mon dernier email, je ne m'arrêterais pas à cette interdiction anonyme, sachant que La Boule est sous exploitée depuis 1991 et qu'elle servirait intensivement à la recherche acoustique spatiale pour la création musicale. Comment alors obtenir la conciliation avec les acteurs du CEMES pour organiser une discussion afin de comprendre l'intérêt commun du projet entre l'artiste chercheur et la direction du CEMES ? Je proposais un dîner au restaurant le 1er ou 2 juin dans ma dernière lettre du 15 mai, sans réponse de Guy Molenat. Sans réponse de la direction du CEMES que puis-je faire d'autre que de remettre en question la gestion de la Boule de Rangueil par le CEMES à la hiérarchie du CNRS ? Dont Antoine Petit, Michel Mortier ou Jean-Gabriel Ganascia pour la direction générale avec le conseil d'administration, puis celle déléguée à la science avec Alain Schuhl, avec l'institut de physique avec Thierry Dauxois ainsi que Joël Moret-Bailly référent déontologue du CNRS avec Christine Noiville Présidente du comité d’éthique du CNRS et Pascale Beyma médiatrice du CNRS, où nous trouverons sans doute une voix raisonnable de conciliation et d'arrangement afin que la recherche acoustique spatiale et la création musicale se réalisent dans la Boule de Rangueil. Pour interdire la recherche et la musique de manière si violente dans La Boule de Rangueil, quelque chose ne va pas au CEMES, mais comme je le disais, ça ne me regarde pas. Le projet de recherche acoustique spatiale et la création de l'oratorio pour la Boule de Rangueil ne peuvent pas être anéantis, c'est un fait d'existence qui ne peut pas être ignoré. C'est pour cette raison que je ne peux pas abandonner la musique spatiale, ce depuis 44 ans, à se réaliser, malgré toutes les hostilités rencontrées à son concert public. N'importe-t-il pas de respecter « l’éthique, la déontologie et l’intégrité scientifique » que proclame le CNRS ? Souhaitant que le CEMES revienne sur sa décision, Pour une entente cordiale, voire amicale qui est la raison de la résonance de la musique. Mathius Shadow-Sky compositeur, chercheur, théoricien, http://centrebombe.org Note de la note * un entretien du 16 mai 2023 avec avec Hélène Grimault a été aussi publié ici : http://centrebombe.org/MatSadRepairesBio.htm#conflitdautorite avec les 2 projets demandés par le CEMES et les échanges d'emails entre Guy Molenat et moi au format pdf. Guy, attaché à la communication qui coupe la communication m'accusant du faux argument d'insulte et de diffamation (sic). Pour en arriver là, quelque chose ne va pas à l'intérieur du CEMES, mais comme je le disais, ça ne me regarde pas. Le projet de recherche acoustique spatiale et la création de l'oratorio pour la Boule de Rangueil sont aussi publiés ici : http://centrebombe.org/livre/2023-2024.html avec les exemples acoustiques de la Boule.