started December 2001
Mathius Shadow-Sky
a presenta
No Things = La Enciclopedia Delphica + dance floor + singing robotonic ballet + aquarium + animaux
Le premier Opéra [robotique] interactif :
[Présentation pour l'obtention d'une résidence d’artiste et d'une subvention afin de réaliser l'opéra pour ... ?]
DESCRIPTION :
Imaginez que les chanteurs-comédiens de l’opéra soient des robots. Des robots soi-disant déglingués, mal vissés, qui imitent soi-disant de façon loufoque les gestes et attitudes humaines. Les rapports humains mis en scène dans l’arène par des machines qui chantent, parlent, bougent et se déplacent de façon fluide et autonome chacune à leurs manières. Les robots-acteurs-chanteurs « chontent » (chante+conte) l’Histoire de l’Homme et sa disparition dans l’Univers et réagissent à la proximité, car ils sont dans l’arène avec le public. Le public est dans le jeu de la piste de la danse.
(arène [arena=sable]: terrain où se combattent les idées, espace sablée au centre pour les jeux et les combats)
(scène [scena=lieu ombragé, ombre] : lieu où joue les acteurs, lieu où est supposée l’action)
No Things / Fragmentos de la Enciclopedia Delphica, est un opéra tragi-comique bouffa à 4 étages (couch1, couch2, couch3, couch4), chontée par 1 chimpanzé humanisé (sans poil), 8 robots déglingués, 3 dauphins vivants et le visage photonique de l’encyclopédie.
L’histoire, 12 extraits de l’encyclopédie définitive de l’histoire de l’humanité gardée par les dauphins, raconte l’extinction, depuis 12 millions d’années, de la race humaine.
ARGUMENT :
L’opéra embrasse les 10 mille prochaines années de l’histoire de l’homme, il raconte l’évolution de l’Homo Sapiens vers sa déshumanisation progressive jusqu’à ce que sa trace disparaisse mystérieusement dans l’Univers. Les histoires sont chontées par le dernier chimpanzé humanisé et l’encyclopédie « elle-m’aime ». Les Chimpanzés qui à un moment ont accompagné l’Homme dans sa course hasardeuse et les dauphins qui règnent à présent sur la planète mère. Ces 12 contes-actes sont les 12 clefs décisives de la destinée de l’humanité disparue.
CELA SERA COMMENT ?
Dans une arène,
4 étages-évènements simultanés (couchX):
1. couch1 : projection dynamique par ordinateur des images fixes et muettes
en noir et blanc. Les dessins de Prado des Fragments de l’Encyclopédie des Dauphins
seront projetés sur un écran panorama courbe (prenant un quart du cercle de
l’arène). Les images ont un rendu « floue », dû à l’usure du temps
et mono-chromé virant au brillant.
2. couch2 : 8 robots chantent dans l’arène dans un ballet robotique interactif.
Les voix des humains dans les images muettes sont DOUBLEES par les robots déglingués dans l’arène synchrone avec la projection. Les robots apportent le côté bouffa de l’opéra, car ils peuvent se tromper ou, ne plus vouloir doubler le film et avoir des conversations entre eux ou bien chanter en chœur pour le plaisir, tout cela en lançant les_mot-sions dans l’espace : les robots sont espiègles et lumineux ! Ils réagissent aussi aux réactions individuelles du public.
3. couch3 : la musique est diffusée en trajectoires sous les pieds répondant aux chants « lancés » des robots (la musique suit les chants dans l’harmonisation). Elle est composée avec et en « référence » aux musiques du passé (si considérées dans notre présent et si peu par moi-même !) mais elles seront imbriquées sur des gammes et avec des sons inouïs (qui fera dire : « tient la musique m’est familière mais je n’ai jamais entendu une musique pareille ! ».Vraiment?
3. couch4 :
le vrai chimpanzé humanisé sans poil et les 3 vrais dauphins.
Le chimpanzé humanisé (assis au bord du bassin-aquarium avec les 3 dauphins)
ra-chonte (les voix off de) l’histoire. Les 3 dauphins nagent dans l’aquarium
(prenant trois quarts du cercle de l’arène). Les Dauphins sont habillés d’une
ceinture multi-usage. Leurs interventions vocales intermittentes sont diffusées
et traduites simultanément dans la langue du pays où se produit l’opéra. Les voix
chimpanzé et delphique seront analysées pour reproduire leur timbres dans leurs
paroles humanoïdisées (: application du spectre des voix animales aux formants
des phonèmes humains).
SOURCE : de la couch1.
L’histoire et le livret sont tirés de la bande dessinée « Fragmentos de la Enciclopedia Delphica » de Miguelanxo Prado (1984). Ses textes seront sans doute modifiés en fonction de leur chantabilité par les robots (les robots utilisent la langue du pays où l’opéra est donné).
LA MUSIQUE : couch3.
En contraste avec l’espièglerie des robots-chanteurs, la musique dégage un suspens quasi permanent sans drame qui plonge l’auditeur dans un univers subconscient – les profondeurs. La musique dans No Things bouge pour s’harmoniser aux différentes voix robotiques au contraire du « basso continuo ». Cette musique « électro-concrète-instrumentale » fera danser aussi le public en recevant les impulsions sonores sous les pieds (ça aide à sauter) en plus de ses trajectoires acrobatiques. Tout en haut au-dessus des têtes, un seul haut-parleur invisible pour créer des flèches soniques verticales (pour les sons qui s’échappent en perspective).
Pour donner une
idée de la sonorité de ma musique (mon nom est _ ) :
http://centrebombe.free.fr (parcours
brésilien)
http://centre-bombe.org
(le centrebombe américain)
Peut-être quelque chose entre « 2 Lamplayers 5000 Years After » et
« Knots System in Miami » et se rapprochant de « Il Y A Du Monde »
composé l’année dernière à Rio de Janeiro et de « La Farsa Del Sonido »
pour orchestre composé à Forgues et « Il Y A d’Etrange Lézards Autour »
composé à Saint Thomas et un peu de « La Commedia Del Suono » composé
à Varsovie.
Consultez le netlabel libre du centre de la bombe où sont
disponibles presque tous les albums de Myster Shadow-Sky en libre téléchargement
: http://centre-bombe.org/mp3-free.html
La musique sera diffusée par ordinateur et donc il n’y aura pas de musicien (à part le compositeur chef de l’orchestre virtuel). Dans le cas d’un surplus de sub_ventions des robots musiciens seront en_visagés (en vie et âgés et visagés) et conçus.
LES ANIMAUX : couch4.
ni de chanteur humain. Le chimpanzé humanisé (sans poil) et les 3 dauphins sont les seuls êtres vivants visibles « de chair et de sang » de l’opéra.
Le singe chante avec un système électronique géré par ordinateur en temps réel qui lui transforme la voix en sonorités fluides et comètiques (de la comète). Le système, a l’air d’être détraqué, car il fait n’importe quoi, une totale incohérence par rapport à ce qu’il chante ! Cette voix du chimpanzé échappe à sa bouche pour aller faire des pirouettes ailleurs !
Soit le chimpanzé humanisé est un vrai chimpanzé (avec son dresseur) soit c’est un humain (enfant) dans la peau d’un chimpanzé sans poil qui ne fait aucun doute qu’il n’est pas humain.
Les dauphins qu’en à eux, n’ont pas de chant synchronisé à la partition. Ils interviennent au hasard et leur langage se superpose au traducteur simultané. Les dauphins évoluent dans l’eau de l’aquarium et parfois viennent « se poser » sur la plage près du chimpanzé. Les 2 voix du 12ième acte du chimpanzé sans nom et du dauphin Alglialei seront doubles (les leurs avec celles des robots). Le passé rattrape le présent. Elles feront miroir à leur propre image et mots enregistrés dans l’encyclopédie des dauphins.
LES CHANTEURS-ROBOTS : couch2.
Les 87 voix des acteurs (figés) de l’encyclopédie des dauphins projetées seront interprétées par 8 robots de différentes tailles : 0.6 m, 1.2m, 1.8m et 2.2m (les mêmes sans moteur qui furent conçu pour le spectacle Jeu de Lampes d’Architecte à l’ARC du Musée d’Art Moderne de Paris en 1981). Chaque robot est pourvu d’un haut-parleur unidirectionnel à la tête qui a la faculté de bouger dans tous les sens (comme tourner à toute vitesse de haut en bas = oui, ou de gauche à droite = non, en biais, etc.…). Chacune des 87 voix est modelée avec différents synthétiseurs de voix (du type text-to-speech ainsi que des programmes de synthèse du chant comme Chant ou SPASM, etc.…) puis re-échantillonnées syllabe par syllabe puis retraité dans la durée (voyelle allongée et rythme des syllabes), dans la hauteur sur des gammes inouïes (mélodies et harmonies) et pour finir variées dans leur timbre avec des effets spéciaux. Les voix seront composées du solo à l’octuor mais aussi chaque robot pourra porter plusieurs voix en même temps pour que les huit créent l’impression d’un chœur gigantesque. Leurs voix seront aussi modulées par une chaîne de traitement numérique du son en temps réel propre à chaque robot. Parfois les robots veulent se gourer en chantant dans une autre langue où différentes langues peuvent se mélanger dans une même voix ou des lapsus, crises d’identité, etc. Toutes sortes de jeux entre les robots seront développés en dehors du, et parallèlement au contexte des histoires de l’encyclopédie.
SITUATION-DECORS :
Le décor est aquatique,
car c’est l’environnement des dauphins (le chimpanzé humanisé vie sur la plage
et parfois met les pieds dans l’eau). Donc de l’eau, du sable et une vue (statique)
de notre belle planète (derrière l’aquarium) débarrassée des humains.
Un aquarium avec des récifs coralliens évolués en (ordina) compu-teur planétaire
formant de magnifiques sculptures gardiennes du savoir delphique.
Un lieu extérieur, soit à l’intérieur d’un théâtre, soit dans une architecture pneumatique (structure gonflable), soit en extérieur dans un environnement vierge d’interventions humaines avec un aquarium pour les 3 dauphins. Une nature renversante.
Le sol de l’arène dance floor est de couleur noire en caoutchouc ultra lisse mou ajouré (le son est sous les pieds). Son aspect artificiel est en total contraste avec la nature environnante des dauphins. L’impression est que le public a été téléporté dans un espace insoupçonné.
COSTUMES DES ROBOTS :
Vêtements et perruques humaines de notre siècle + lumières (ils s’allument (en même temps qu’ils phonent) quand ils chantent où quand on les heurtes_bouscules). Leurs lumières les rendent lumineux (halo de lumière blanche passant par le gris jusqu’au noir : des lumières auréoles – couronnes d’or blanc). Le mouvement de leur lumière est aussi un langage, formé par le rythme de l’intensité de leur lumière : rythme heurté signifie, rythme souple signifie, etc. Le langage des robots inconnu des humains.
LA FORME DES ROBOTS CHONTEURS :
Formes absurdes mais avec des membres articulés homoïdes comme des lampes d’architecte et un haut parleur dans une enceinte sphérique comme tête (150 watts). Ce n’est que leurs mouvements qui « rappelleront » l’humain pas leurs formes.
DEPLACEMENTS DES ROBOTS CHONTEURS :
Ils se déplacent principalement en roulant AVEC DES GESTES FLUIDES : cela avec des roues amovibles à leurs pattes-jambes. Ils marchent, courent avec 2, 3, 4, 5 (ou plus) pattes-jambes. Ils boulent en mettant leur corps en boule pour se rouler. Cela à des vitesses très lentes et assez rapides. Ils se télescopent (leurs membres sont télescopiques avec un contrôle possible de la vitesse du télescopage en vue de sa composition pour la chorégraphie) pour se rendre plus long ou plus court, se grandir ou se rapetisser, ainsi que dans une collision ils se rétractent (rentrent en eux-mêmes) ou se contractent (réduisent en volume) ou au contraire augmentent en volume en se décontractant. Options : ils peuvent aussi (sauter comme des ressorts grâce à leurs membres télescopiques) ou voler par des systèmes hélicoptés ou de ballon gonflé à l’hélium (mais peut-être pas dans l’immédiat).
TEXTURES DES ROBOTS CHONTEURS :
Ils sont MOUS. Lisses ou rugueux en latex ou autres matériaux de mousses flottantes mais MOUS. Aucune partie métallique formant leur squelette n’est apparente.
TRAJECTOIRES DES PHONES DES ROBOTS CHONTEURS :
Entre les robots, il y a une constante interaction (en plus qu’ils doublent le film). Par exemple un « tac au tac » peu apparaître de plus en plus rapide au-delà des possibilités humaines entre deux ou plusieurs robots (ceux qui ne doublent pas) et créer un jeu spatial du type multi-hoquet très rapide pour former des sons continus voyageant dans l’espace lentement. Une voix d’un robot peut se déplacer et aller à un autre robot. Une voix dans un seul robot peu se multiplier de façon progressive dans une trajectoire spatiale arborescente. Et inversement pour former un chœur. Plusieurs personnalités dans un même corps de robot se battent pour avoir la parole mais qui tentent de s’échapper dans une seule direction et ramené par la volonté de. La belle voix qui se fragmente petit à petit et qui s’éparpille. Un texte d’un même timbre de voix chonté par différents robots. Un robot qui se met à tourner fluidement autour du public accélérant et ralentissant tout en chontant son texte (effet Doppler). Un autre qui fait tourner sa tête-haut-parleur sur elle-même à l’horizontale à la verticale en biais plus ou moins très rapidement avec un même mot articulé très lentement (effet Leslie). Et cetera.
Le déplacement des robots plus ou moins rapide dans l’arène parmi le public va permettre un contrepoint de trajectoires de la voix dans l’espace (imaginez votre voix en train d’échapper à votre bouche et de voler) entre les 8 différents robots-chonteurs et tous de tailles différentes.
LES GESTES ET CHOREGRAPHIE DES ROBOTS CHONTEURS
Des positions lourdes de sens (voir La Clef Des Gestes de Desmond Morris) à un moment donné (), des directions (interpolation de positions) et des vitesses de déplacements ainsi que des bousculades accidentelles feront parties de la partition chorégraphique du ballet (mécanique ? Non, mais plutôt aquatique mais sans eau, dans l’air). La signification donnée aux gestes des robots est indépendante du sens de leurs mots chantés. Et même contraste par esprit de contra-diction.
LE FILM QUI N’EN EST PAS UN :
Le film c’est l’histoire, le film c’est l’encyclopédie de l’Homme récupéré par les Dauphins qui volent, parlent et s’amusent. Les dessins au crayon noir de Miguelanxo Prado de la bande dessinée de la Enciclopedia Delphica seront projetés de manière dynamique dans l’apparition et la disparition des images sans le texte écrit : les bulles. Une projection très particulière par ordinateur. Plus qu’un film, c’est de proposer par la fixité des images vieillies en manque de pixels (éléments d’image) et une disposition au flou brillant, l’idée d’un livre électrique par décharges, visualisé à partir d’un petit cube transparent et chaud que l’on tient dans la main (humaine). Le livre est interactif car il répond de visu au lecteur qui pose une question : de la lumière communicante (l’image et le texte ne communiquent QUE par la lumière). Inscription de mots de lumière.
Cette « fixité » fera contrepoint au ballet des robots chonteurs espiègles. L’opéra est un mixage subtil entre le chant synthétique, le ballet fluidique, le film fixique, l’environnement interactique, la musique de profondique, le texte luminique, la parole électronique, les personnages imagiques, vivants et reproduits, la présence actique de chacun, les mouvements soniques dans l’espace : sans que l’un remporte l’attraction au profit de l’autre. Cela pour créer une perception multiplexée au même endroit, au même moment.
LE PUBLIC :
100 personnes maximum par représentation dans l’arène. Le public est debout prêt à danser ou est assis sur des cylindres en caoutchouc noir et ajouré (le son est sous les pieds) épars dans l’arène, ou il est couché sur le sol caoutchouteux mou et noir appuyé (atêté) contre des triangles-oreillés en caoutchouc noir et mou et ajouré. Le public retire ses chaussures en dehors de l’arène (comme à la mosquée) avant d’y pénétrer.
Si une personne du public bouscule ou interpelle un robot, celui-ci réagira en fonction de l’intensité de la provocation. Le public peut aussi s’adresser à l’encyclopédie lumineuse (le film) pour lancer un débat d’idées. Par contre si une personne du public se met à vocaliser, une réaction vocale immédiate d’un robot puis d’un autre, etc. s’harmonise avec celle de la personne vocalisante. Cette situation peut se développer en intermède plus ou moins long dans l’opéra robotique.
L’AQUARIUM :
L’aquarium avec les trois dauphins dedans, fait face au film encyclopédique : ¾ d’aquarium pour ¼ d’écran de l’espace circulaire de l’arène utilisé. No Things c’est cela aussi : mettre face à face l’image projetée rapportée avec un animal vivant dans son milieu pour provoquer la force de l’attraction alternante : l’un ou l’autre ? Non, l’un dans l’autre.
Avec :
Au milieu : les
robots.
Dessous : la musique.
Dessus : rien ou les coulisses, les derrières de scène... Avec un haut-parleur.
NOMBRES DE VOIX :
En tout 90.
_ 87 personnages de l’encyclopédie doublés par les 87 voix distinctes des 8
robots :
70 VOIX HUMAINES :
_ 2 enfants humains mâles blancs de moins de 10 ans
_ 3 adolescents blanc type néo-bébés (voix certaines et pointues)
_ 1 adolescente blanche
_ 31 jeunes hommes blancs
_ 1 jeune homme Touareg (les Touaregs seront chantés par les robots avec
l’accent Tamasheq).
_ 7 jeunes femmes blanches
_ 3 femmes adultes blanches
_ 7 hommes adultes blancs
_ 1 voix télépathique de vieil homme (une voix sans distance, dans la tête)
_ 11 vieux hommes blancs
_ 1 vieil homme Touareg (les Touaregs seront chantés par les robots avec
l’accent Tamasheq).
_ 2 vieilles femmes blanches
9 VOIX CHIMPANZES :
_ 1 chimpanzé adolescent
_ 4 chimpanzés jeunes
_ 3 chimpanzés adultes
_ 1 chimpanzé vieux
7 AUTRES VOIX :
_ 1 voix téléscripteur
_ 1 planète vivante
_ 1 androïde mâle
_ 1 messageur publicitaire
_ 1 messageur courrier
_ 1 Arbre gigantesque
_ 1 dauphin mâle adulte
Plus les 3 voix du chimpanzé, du dauphin et de l’Encyclopédie non chantées par
les robots.
LE JEU DES ROBOTS :
Sonique, chorégraphique et lumineux est un mystère, mais ils ourdissent quelque chose...
DESCRIPTIF DES ACTES :
Acte 01 :
Sensations ou comment l’Homme projette son esprit dans un robot
et meurt.
Acte 02 : Bienvenue ou comment l’Homme détruit et tue ce qu’il ne
connaît pas.
Acte 03 : Sables ou comment l’Homme détruit et tue ce qu’il connaît.
Acte 04 : La Voix Royale ou comment l’Homme pour le pouvoir…
Acte 05 : Telmos ou le phantasme réaliste du Nouvel Homme.
Acte 06 : Prenez Pitié De Nous ou l’Homme auto-démocrate.
Acte 07 : Huile ou le dernier Homo Sapiens parmi les Homo Novo.
Acte 08 : De Sang Divin ou le Dieu Homme parmi les singes esclaves.
Acte 09 : Je ou la négation du moi individu de l’Homo Novo.
Acte 10 : Point De Départ ou l’Homme n’est pas l’unique intelligence.
Acte 11 : Adieu ou la haine des races ne retient pas « le grand
saut ».
Acte 12 : Mythes ou les Héritiers.
NoThings_voix_actes
NoThings_libretto_Acte I
NoThings_PlanPartitionel
NoThings_entrada
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