Les formats de l'industrie audio normés avec multiples haut-parleurs ne reposent que sur des mots : D'abord Dolby impose au monde audible (de la musique spatiale) domestique son format home-cinéma (sic) ; pour quoi ? par peur de diversité et d'abondance ? : Dolby Digital = format audio multicanal 5.1 (= 6 enceintes) depuis 1992 Dolby Digital EX = format audio multicanal 6.1 (= 7 enceintes) depuis 1999 Dolby True HD = format audio multicanal 7.1 (= 8 enceintes) depuis la fin des années 2000 Des mots pour impressionner (les amateurs de sensations (fortes) = celles et ceux voulant être submergés par l'impression de grandeur immense = les croyants) où « digital » signifie doigt, « ex » signifie avant, et « hd » signifie définition haute ; des désignations destinées à la perception, mais qui dans la réalité ne signifient rien à l'audition. True HD = Vraie Haute Définition (sic) ? Hum hum. Tout ça n'a « jamais concerné QUE le nombre de haut-parleurs AUTOUR des spectateurs et, la résolution audio prise en charge » qui ne change pas depuis la création du CD (compact-disk) : 44.1kHz ou 48kHz pour la vidéo. Les autres résolutions numériques 88.2kHz ou plutôt 96kHz jusqu'à 192kHz à 24 ou 32 bit gonflent en « poids octet » les fichiers audio 2x et 4x + (trop gros pour la capacité des disques imprimés fermés et verrouillés tels le DVD ou le Blu-ray et encore + avec le format l'UHD 4K). Depuis la naissance du CD, le format fermé verrouillé du disque change en permanence, pourquoi ? pour racheter les mêmes films. Le son et l'image sont-ils meilleurs ? C'est ce que tout le monde veut croire. Car la compression est encore + puissante, et encore + : BOUM. Mais la base de l'écoute électrique du haut-parleur n'a pas changé depuis sa naissance : une membrane bougeant de son va-et-vient transmettant l'audible. Et le souffle ? Le souffle ne signifie pas que « le son est mauvais ». Dolby a commencé son imposture à chasser le souffle audible. Sans « souffle », la perception de l'espace audible tridimensionnel est impossible : dans le fond sonore règne le souffle, mais personne ne l'entend à cause de sa constance. Le « denoiser » numérique remplace les sons des souffles par des sons d'eau nommés : « artifacts ». Le son enregistré n'est jamais seul. Le monde de l'industrie audio : charlatanisme, Imposture * Dolby Atmos ? 2 ou 4 enceintes en + au plafond... ou, dirigées au plafond pour entendre « par réflexion » (réverbération) (sic) ce qui est sensé être entendu en haut... Sons directs et sons réfléchis ne sont pas la même chose : l'un est réverbéré et l'autre pas. Pas pour Dolby ? semble-t-il. Et en bas ?... Il n'y a rien pour Dolby. Parce qu'ils n'entendent rien. Pas de son au niveau des pieds et sous terre ? Sous-terre, il n'y a pas d'hélicoptère à sonoriser. Pour Dolby avec 2 enceintes en + ou 4, son 5.1 devient 5.1.2 ou 5.1.4 (sic) (= 6 enceintes devient en réalité un ensemble de 8 ou 10 enceintes) et le 7.1, 7.1.2 ou 7.1.4 (= 8 enceintes deviennent en réalité un ensemble de 10 ou 12 enceintes). Cette normalisation (et toute normalisation) de l'espace audio par Dolby est un non-sens pour la musique. Pourquoi ? ça supprime les possibilités de la topohonie. Si la musique a été jetée de l'exploitation spatiale de l'industrie audio « home (sic) cinema » : musique reléguée à de la bande-son, au fond sonore (sic) de l'image, c'est que ces abus et supercheries seraient vite révélés par l'évidence de l'absurdité du dispositif, car pour la musique, regarder là où ça sonne n'a aucun sens (le regard localise ce que l'ouïe préfigure, c'est en ça que le système Dolby est une supercherie, car Dolby joue de ça). L'acuité acoustique de l'audition spatiale s'entraine (comme conduire, comprendre la langue, savoir lire, nager ou faire du vélo). L'auditeur novice aura de la difficulté à percevoir un pliage spatial audible (= la transformation d'un champ acoustique en un autre) sans entrainement. La musique ? il suffit de l'écouter les yeux fermés pour ressentir ses mouvements que la vision pervertit. « Dolby Atmos a simplement ajouté une couche supplémentaire à la bande-son originale au [nommé] Dolby Digital et Dolby True HD. » Dans la réalité contextuelle de la musique spatiale (sans image) la perception spatiale de la musique reste pour le spectateur conditionné, insupportable, car au fond il n'entend plus ; il doit et ne voit le son qu'en objet (de support aux visions imposées), pour le spectateur si la musique ne visualise pas des objets, elle est alors source de désagrément. Voilà où nous en sommes 61 ans après la découverte de la musique spatiale ! Les compositeurs créent de la musique pour des auditeurs assourdis par les images mobiles. La surenchère de l'équipement « audio pro » Toute cette surenchère d'équipement « pro » orchestré par Dolby et les autres pour : une perception imperceptible du monde réel des vibrations de la musique. Avec du côté public, un équipement audio « HiFi » amateur de qualité inférieure (à l'équipement studio), bien qu'un haut-parleur reste une membrane en mouvement, et le reste. Mais là, il ne s'agit pas d'entendre ni d'écouter l'inaudible, de découvrir l'inentendu, là, il s'agit de vendre des supports physiques « disques » avec ses « (faux) nouveaux » équipements « faussement nécessaires » : dispositifs destinés aux consommateurs (pas aux mélomanes) de Blu-ray et autres HD ou 4K (des histoires enfermées dans des disques, cinéma et jeux, verrouillés à consommer soi-même tout seul, sans les autres, et à accumuler pour collectionner ces objets ce, pour entretenir le péage individuel permanent), mais certainement pas la créativité de la musique spatiale. Fausse propriété Dolby verrouille son format topophonique (où son principe n'est même pas issu du système sophistiqué Ambisonic) comme tout commerçant charlatan. Atmos se limite à un nombre limité de 118 objets sonores à orienter ! pourtant sans limites dans le monde audio-numérique. Pour « entendre du Dolby Atmos » (sic) il faut que les sons soient « mixés et enregistrés en Dolby Atmos » (sic) : mais il n'y a pas, dans aucun studio d'enregistrement, qui gère le mixage multicanal en sortie, un équipement spécifique à Dolby pour Atmos ! Dolby fixe sa topophonie pour le cinéma, à l'espace du cinéma (avec un seul écran géant qui fait face dans le noir) « ajoutant 2 pistes supplémentaires pour 2 à 4 haut-parleurs au plafond » (sic). Et quel intérêt d'avoir son studio d'enregistrement verrouillé ? Dolby ne s'inspire même pas du système Ambisonic de Michael Gerzon créé dans les années 70 du XXe siècle, bien + subtil que « la spatialisation (= panoramisation) orientée objet » (sic) (objet = hélicoptère qui passe) avec des programmes de panoramique (abusivement nommés 3D qui sur l'écran plat 3D signifie perspective, pas tridimensionnelle), accompagnés de « presets » préenregistrés gérant les objets visibles à l'écran à sonoriser (les volumes dans les pistes de chaque son) **. Si l'ingénieur du son est « normalisé » par un système fermé, il n'a plus de créativité, et s'il n'a plus de créativité, il est alors inutile à la création musicale sonore, ce qui n'est pas sa raison. Des nombreuses vidéos qui « présentent le produit », rien techniquement n'est expliqué, car il n'y a rien à dire, mais les superlatifs abondent justement parce qu'il n'y a rien à dire. ÇA NE DIT RIEN, CAR IL N'Y A RIEN À DIRE Notes * qui exploite la crédulité des gens en se faisant passer pour un savant à tromper par un vocabulaire-jargon qui impressionne les ignorants sans rien signifier par rapport à la réalité qu'une mise en scène spectaculaire. Pour certains, ça leur suffit. ** « Les données Dolby Atmos sont utilisées pour stocker l'automatisation du panoramique des objets ». Et « Dolby Atmos [n'] utilise [que] jusqu'à 64 canaux [à l'enregistrement] ». Dolby Atmos « stocke l'automatisation du panoramique des objets » l'Avid ProTools. Source entre autres à réagir : https://www.son-video.com/guide/dolby-atmos-le-son-home-cinema-en-3d