Les instruments de musiques

et la musique :

Tous les instruments de musique s'offrent à la composition musicale ?

OUI

mais l'organisation des humains entre eux rend ce possible difficile à sa réalisation

 

D'ABORD

Dans la série : OUBLIER/DÉTRUIRE l'essentiel. Rappel.

La musique, sa fonction

Pouvoir créer, de tout objet, un instrument de musique

Quelle est la différence entre un objet, un outil et un instrument de musique ?

. Un objet est un truc passif à disposer.

. Un outil est un objet à une fonction.

. Un instrument de musique est un objet vibrant (sachant que tout vibre) à plusieurs fonctions qui d'abord pour être joué demande de la sensibilité (faculté de percevoir l'infime) de l'intelligence (faculté de l'inventivité) et de la dextérité musculaire (réaliser des gestes impossibles à sa naissance). Ensuite la faculté d'enchanter son auditoire, c'est-à-dire, celle de comprendre les allers-retours du désir de communiquer entre humains qui se perçoit par les flux vibratoires et de les agir en conséquence dans l'instant (= quelques millisecondes avant chaque évènement). Tout objet ou outil transformé en instrument de musique (tels, un cendrier, une lampe, un studio d'enregistrement, une sonorisation, une politique, et tellement d'autres choses) transforme l'utilisateure en artiste, c'est-à-dire, en être humain avec les facultés maturées de sensibilité, d'intelligence, de dextérité, de compréhension et de communication à travers le vibratoire à savoir et pouvoir se renouveler dans l'instant. Ce n'est pas l'objet qui fait l'instrument de musique, mais le musicien qui le joue, en effet, un instrument de musique qui ne sonne pas est un instrument mort. L'artiste est artiste s'il invente (= s'il ne recopie pas, tout en croyant sa copie originale et unique). Recopier, imiter est le niveau enfantile en apprentissage, qui une fois dépassé, fait découvrir à l'apprenti les vastes possibles de l'inventivité de l'imagination. La fonction oubliée méprisée et niée de la musique est de développer le savoir et le savoir-faire pour savoir vivre (la courte durée de nos existences).

 

 

Les instruments de musique viennent pour la plupart des outils et des armes de guerre
oublier la guerre avec des outils transformés en armes de guerre !

L'arc.
Inventé pour envoyer un projectile loin où le lanceur n'est pas,
pour transpercer sa cible comestible, l'arrêter de vivre pour la manger.
L'arc, est l'arme qui a donné à développer tous les instruments à cordes, tous.

Le tambour.
Les percussions, telles les timbales doubles étaient des « terroriseurs sonores » pour les assauts, montées sur cheval, d'où sa doublure et la rondeur de son vase.

L'orgue.
L'orgue développé de l'alarme est utilisé pour les jeux de l'arène à Alexandrie pour sonner les changements (de combat, de combattants, de jeu, etc.) : l'orgue à feu, à 4 clés/touches/déclencheur pour 4 sons, tel les trompes des stades de foot à 1 ton pour exprimer l'enthousiasme des supporters. De 4, 5, 6, 7 et +, l'orgue à multiplier les clés donne le clavier (clave = clé, pour collection alignée de clés). L'orgue se développe mais pour se faire accaparer par la religion chrétienne qui en fait son instrument de prédilection pour impressionner ses fidèles dans les cathédrales, avec choeur et trompettes. Du signaleur ludique, il devient l'instrument de propagande sonique spirituel. Mais les compositeurs s'emploient toujours à dévier cette intention nuisible donnée à l'arme instrumentale.

La trompette, les cuivres.
La trompette est l'évolution du cor à 1 ton (+ ses harmoniques Monique) qui sonnait l'assaut, l'attaque groupée, la charge de tous contre un (par l'encerclement). Les trompettes sonnent la guerre, les ennemis, les hostilités de la souveraineté.
Tout ça, n'est pas encore fini !

La fanfare.
La fanfare est l'orchestre mili-taire (sic) * en mouvement déambulant pour faire entendre l'ordre par les hymnes.

L'hymne.
Un hymne n'est plus une musique libre, mais une musique capturée pour la transformer en fonction, celle de glorifier le politicien souverain (le faux guerrier de gloire re-publique, public soumis ra-semblé par les prêtres en masse pour la messe **). L'hymne est un morceau facile, facilement mémorisable, qui diffuse des copies dans les mémoires des auditeurs. Cette pratique a été récupérée par l'économie et les signaux idenfiables et mémorisables se sont fait approprier (par « le droit d'auteur » français et le « copyright » anglais, qui interdit l'usage pour user du chantage)

La flûte.
La flûte est l'un des seuls instruments de musique qui ne soit pas d'origine guerrière.
Ça se comprend, sa portée est limitée. La flûte joue dans l'intimité qui ne sert ni la chasse ni la guerre.
L'aulos de la Grèce Antique que tout non-musicien croit être une flûte est en réalité un hautbois double.

Le hautbois.
L'anche double qui donne naissance à cette famille d'instrument se caractérise par sa puissance sonore, + que la trompette, et la stabilité de son son. Dans l'orchestre c'est le hautbois qui donne le La. Comme pour tous les autres instruments, de l'unicité à la multiplicité, du similaire aux différences, d'1 son vers plusieurs développe les gammes (de gamma la lettre G grecque !). Pour varier, diversifier l'assimilarisé.

La voix.
Mais le 1er instrument donné sans n'avoir rien à fabriquer ou détourner est : la voix. La voix pour ne rien dire. Que vocaliser.

 

On comprend alors
Que la musique serve à pouvoir se débarrasser de son excès de violence et d'agressivité,
se débarrasser de la colère d'un foie malade imbibé d'alcool.
« Adoucir les meurs » signifie : supprimer la volonté de violer ses femmes et enfants
dans les vapeurs de l'alcool mal digéré
(de l'humilié qui se bourre la gueule
qui se saoule croyant pouvoir oublier son humiliation et
contre agissant cette humiliation la vengeance contre
ses proches, les personnes censées être aimées
de sa famille : sa femme et ses enfants).
Oui.
Carla, la musique peut être violente
par sa puissance sonore de ses coups,
par sa puissance sonore de son ordre,
de sa mesure mécanisée au pas obéi
pour déshumaniser les auditeures à marcher en ligne dans les rangs
pour les soldats à l'assaut : à tuer en marchant au pas ;
d'où les mesures à 2 temps qui à partir de la « Renaissance » — quelle renaissance ! —
a remplacé la mesure à 3 pas, à 3 temps,
pas gardés par les sociétés pacifiques (celles qui dansent qui n'attaquent pas).

 

 

Les instruments de musiques, les musiciens et la composition musicale

Pour un compositeur (à l'esprit ouvert : explorateur, aventurier), tous les instruments de musique, tous s'offrent à la composition musicale. Sans exception. On imagine, si l'on sort de l'ensemble habituel des instruments de musique « classique enseignés au conservatoire » en pensant à tous les instruments de musique connus possibles et impossibles : les possibilités de mélanges instrumentaux sont immenses. Rien que cette idée : « Tous les instruments de musique se donnent à la composition musicale » fait rêver. Sans ségrégation, sans favoritisme pour les plus usuels, ni classement hiérarchique arbitraire, etc. ouvre un monde sans frontière sur le rassemblement des instruments de musique dans la musique.

Puis les choses se compliquent (n° 1) : comment écrire pour un instrument de musique qui ne rentre pas dans la théorie de la musique occidentale ?

Avec des sous-ensembles de complications pour réaliser une musique originale (qui ne répète pas les principes entendus) :

1. Invention d'une technique instrumentale sur un instrument commun (occidental) et sa transmission (apprentissage à un élève musicien qui le désire : il faut savoir qu'un musicien est musicien pour être admiré en société et par le public, un instrument qui sort de l'ordinaire paraîtra inapproprié à être joué en concert et fera l'objet de dérision).

2. Invention d'une technique instrumentale sur un instrument extraoccidental et recherche du musicien. (là, 2 oppositions apparaissent : d'abord le musicien extraoccidental qui joue de l'instrument en question résistera à la proposition d'une autre technique de jeu, puis le musicien occidental se désintéressera de l'apprentissage d'un autre instrument avec une technique unique qui ne lui servira qu'une seule fois).

3. Invention d'une théorie, de jeux instrumentaux, suivant chaque contexte instrumental et rassemblement de ces théories et pratiques.

4. Obligatoirement crée une musique différente qui ne sera pas reconnue par les sociétés (qui payent pour payer son loyer).

5. Travailler dans l'inconnu suscite inévitablement (dans notre contexte de guerre économique) le rejet.

6. l'invention est excitante, mais a un coût : le rejet.

7. Demander aux luthiers des modifications de leur instruments : trop peux sont prêts à s'engager dans une aventure d'invention, mais leur résistance à l'originalité peut se résoudre avec une somme d'argent.

8. Beaucoup d'instruments de musique unique existent. Pour composer pour un instrument de musique, il faut le posséder pour le jouer, l'expérimenter, l'avoir avec soi pour l'apprivoiser, le familiariser et lui inventer des modes de jeux. Entre désirer tous les instruments de musique à composer et les posséder effectivement, l'obstacle principal est : l'argent et... la place. Sans accumuler, l'un remplace l'autre.

9. Le refuge dans le bricolage (DIY = à faire soi-même) est une autre alternative qui ne fonctionnera pas pour les compositeurs non-bricoleurs et des musiciens qui refusent de jouer l'instrument bricolé en question.

10. Concevoir un instrument de musique qui n'existe pas et le faire construire, mais il n'y a personne qui se sent concerné (même s'il est payé : pour ça, il faut que le fabricant s'approprie le projet du compositeur pour qu'il puisse donner un sens à sa vie, sa carrière, sa reconnaissance sociale, pour le réaliser).

11.
...

Puis les choses se compliquent (n° 2) en orchestre : comment assembler des instruments de musique avec des musiciens qui ne s'assemblent pas ?

Avec des sous-ensembles de complications pour réaliser une musique originale (qui ne répète pas les principes entendus) :

1. Assemblement de musiciens qui ne parlent pas le même genre musical, ni l'ouverture de leur état d'esprit à une musique différente et commune.

2. Assemblement de musiciens qui n'utilisent pas la même théorie musicale et proposer une théorie musicale différente et commune qui aussi rassemble les leurs.

3. Assembler et faire communiquer différents musiciens de différentes cultures et langues étrangères en dehors de leur contexte culturel habituel.

4. Payer les voyages et les défrayer, s'ils sont éloignés les uns des autres.

5. Il faut une conjoncture politique favorable (un accueil possible dans une société) qui permette l'assemblement : salle, déplacement, défraiements, possibilité de répétitions sans limitation de temps (au risque d'entendre un à-peu-près bâclé ou un faire sans comprendre, sans être concerné).

6.
...

 

Comment faire ?

Avec l'invention, l'avantage est qu'il n'y a pas de recettes toutes faites à suivre. Les recettes, il faut les inventer ; et c'est ça qui est excitant dans le métier de l'originalité et dans la musique (l'art du vibrant) en particulier. A chacun et chacune son parcours pour réaliser le but ultime de son désir, avec un parcours qui obligatoirement est semé d'embuches (le terrain n'étant pas dégagé) et personne n'étant familiarisé, n'a pas le recul critique nécessaire pour un jugement impartial (aujourd'hui au XXIe siècle, l'inconnu terrorise plus qu'il n'exalte).

 

Comment rendre l'impossible possible ? ou attirer des savoirs-faire à sa musique ?

Etre sympa (le compositeur maudit, ça marche plus) et avoir de l'argent et + avoir des amis.es (influents) qui donnent la possibilité et de financements et de donner des concerts à travers le monde dans des salles fréquentées. N'est-ce pas impossible ? C'est à ce stade qu'une analyse sociopolitique est indispensable pour comprendre que les moyens principaux sont détenus par les Etats et généralement par les Etats dominants du monde (1. E.U., 2. Allemagne, 3. Suisse, 4. Angleterre, 5. Japon, 6. etc.). La politique culturelle française depuis 1981 ne considère pas la musique originale comme une priorité culturelle (ou ne la considère plus). La politique culturelle des Etats fonctionne au prestige (une guerre culturelle entre les pays susnommés dont les E.U. sont considérés comme largement dominants). L'ouverture d'esprit et du possible musical se trouve cantonné dans le genre sans genre nommé : « musique expérimentale » qui ne veut plus rien dire, car le genre comme les autres s'enlise dans ses stéréotypes. Justement, l'inventivité du compositeur est d'éviter ces stéréotypes. Mais l'originalité n'est plus la valeur majeure pour un artiste rentré dans les politiques culturelles qui détiennent les moyens de réaliser ses oeuvres (réseau, salles, financements) : la valeur majeure d'un artiste est : son « rayonnement public » ou son « poids public », c'est-à-dire : sa capacité à se faire apprécier du public pour que ses disques et ses concerts soient vendus (non pas pour l'argent qu'il procure à ses producteurs), mais pour son « rayonnement public » (sa gloire sachant que l'objectif du pouvoir politique n'est que : la gloire) d'être remarqué et envié par les autres (c'est le travail de la promotion : une carrière artistique est un processus complexe de construction de la vedette). Le gain va de soi et est secondaire. Ce chemin sociopsychologique compromettant entraîne et cultive une attitude de préservation (pour payer son loyer ?), de sa personne, de compositeur (artiste) : par sa corruption. La domination de la politique économique sur les arts (et la musique devenue une industrialisation et un divertissement de masse) empêche le compositeur de composer librement (s'il veut être connu et bien payé). La domination de la chanson (90%) et de la musique classique (10%) sur le marché ignore la possibilité d'une musique originale dont les oreilles conditionnées se sont totalement détachées : « c'est de la musique ton truc ? » (sic 0,01%). S'il veut éviter la corruption de sa musique, le compositeur doit se détacher des politiques culturelles (guerrières qui se servent des arts comme armes de guerre) et trouver d'autres réseaux indépendants (généralement sans moyens, mais parfois avec des bonnes volontés) pour réaliser ses oeuvres inouïes. Il n'y a pas de secret, la musique est un acte social vibratoire, et pour vibrer ensemble, il faut s'arranger pour, sans se compromettre. La vie dans une société autoritaire et hiérarchique ne favorise pas l'ouverture d'esprit de la musique, et c'est toute la difficulté (et l'expérience de sa vie), dans un contexte hostile, de réaliser (quand même) ses oeuvres libres et originales

au risque de tomber dans la misère et de perdre sa vie, mais de ne pas la gâcher comme la masse étouffante de faux artistes qui servent de soldats à la guerre culturelle de mondialisation de l'Occident.

Notre temps historique au XXIe siècle n'est pas un temps de conciliation...

 

 

Mes exemples, mon cheminement, mon expérience personnelle...

Mon désir d'assembler tous les instruments sans discrimination, d'élaborer des instruments qui montrent une ouverture d'esprit, de chercher des collaborateurs pour créer ensemble des instruments de musique inexistants ne me quitte pas depuis 1978. Tout ça commence avec la fascination du monde électronique des instruments de musique (synthétiseurs). Qui dans la démarche, se détache de l'instrument de musique conventionnel difficilement modifiable (physiquement et psychologiquement pour les musiciens et les auditeurs) et qui ouvre un monde différent à la musique. Mais à cette époque un synthétiseur analogique était vendu l'équivalent de 12 mois d'un SMIC qui pour un étudiant était inabordable (il n'y a qu'à la fin des années 80 que le synthétiseur analogique a été délaissé et m'a permis d'en acquérir 2. Aujourd'hui sa valeur est revenue à celle des années 70). Pour contourner cet empêchement, j'ai usé du micro de contact comme outil d'exploration de l'inouï avec la possibilité de rendre l'instrument mobile dans l'espace (en trajectoires rapides qui traversent le corps des auditeurs ou bougent dedans).

1. La musique spatiale : l'instrument spatialisateur (toujours inexistant en 2013) je bricole toujours encore aujourd'hui par assemblage de différentes machines pour obtenir des ensembles de trajectoires qui interagissent dans la tridimensionnalité (pour traverser les corps des auditeurs).

2. Les objets instruments de musique : la lampe archisonique (abandonnée en 2007 après 27 ans de jeu pour cause d'agression de la part du public) rentrée dans la chaîne électroacoustique par le micro de contact.

3. Le détournement des instruments classiques comme : la guitare classique couchée soumise à l'archet de bois et autres instrument propices au détournement.

4. le détournement ou la non-application de la technique instrumentale destinée à l'instrument de musique non-occidental comme récemment : le jinghu (violon pékinois) et le Dan Tranh (cithare vietnamienne de 17 cordes).

5. Le Trans-Cultural Syn-phônê Orchestra qui rassemble une centaine de musiciens de tous les bords sans discrimination (1996 - 1997)

6. Les orchestres transclasses plus petits et plus aisés à organiser que le Transcul supra bien que difficiles à réaliser quand même.

7. Les orchestres d'objets microcontactés initiés avec 6sssssseX+2eX en 1986 encore non réalisés jusqu'à ce jour en 2013.

8. Une théorie musicale ouverte qui permet de comprendre toutes les échelles, modes et gammes possibles et leurs opérations de transformations, de positions, etc., nommée : CHAMP SCALAIRE.

9. une écriture musicale turbulente nommée « écriture ondale » spatialisée destinée aux orchestres symphoniques classiques reste irréalisable dans la forme des salles de concert à l'italienne et dans les états d'esprit des orchestres mêmes.

10. et autres.

...

 

 

Notes

* Comment le « mil » langue indoeuropéenne et céréale et nombre est-il devenu « militaire » (le mil tu — pas tué — qui ne dit plus rien, qui se tait pour se taire) ? Le guerrier de mil est le gardien armé des entrepôts des stocks de mil des 1ères cités-État pour empêcher quiconque de rentrer pour se servir à manger du mil entreposé (gardé pour être mangé conditionnellement). Ce mil gardé servait au chantage de l'industrie de l'esclavage. Il sert toujours, mais sous une autre forme : l'argent (plus l'or des souverains affolés par son brillant solaire). Mil a donné aussi milice. Police est la milice de la cité (polis). Le taire de militaire vient du sufixe « -itis » qui signifie soldat. Le soldat est un homme fonctionnalisé, une fonction obéissante tenue par le chantage de sa solde (son salaire — = sel — en sel, remplacé aujourd'hui par la monnaie virtuelle) et de son engagement idéologique à vouloir servir la violence et s'en servir.

** La messe au XIVe siècle a remplacé le mot : office, signifiant : le moment/l'heure (du spectacle intérieur imposé aux autres) d'envoyer ses prières (l'espoir futur de sa misère présente désirée. tordu, plié, soumis) à son dieu. Messe du latin « missa » = prendre congé, du latin classique « missus » = lâché (participe passé de « mittere » = lâcher, laisser aller, renvoyer). Mittere, Mitterrand = le lâcheur : celui qui trahit tout le monde. La messe donne la mission et les missiles pour le bombardement jusqu'à l'atomique pour la destruction de tout : pour prendre congé ? La mission est divinisée par la fonction du messie à oindre (= appliquer de l'huile sur une personne pour « attirer sur elle la grâce », oindre = enduire). La mission d'enduire d'huile tous les croyants à obéir aux règles émises par les auteurs pour vivre en ordre ensemble ? Enduire un corps d'huile sert à faire glisser le corps à s'échapper de toute capture. Les « gladiateurs » étaient oints. Les corps huilés glissants sont aussi disposés sexuellement à s'interpénétrer.

 

 

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