nouveau livre, avril 2021
en cours de rédaction
pour solliciter :
le sens d'une notion détournée :
requête à l'auteur

POUR-FAIRE-COURT

 

intro

Les liens de sens avec la réalité sont rompus. La raison ? entretenir, cultiver l'ignorance pour être gouvernable. Savoir, empêche de se faire tromper de se faire berner de se faire avoir de se faire faire (des actes qu'on ne ferait jamais par soi-même et le 1er : violer). Le viol est l'action ultime de l'imposition de la soumission : la personne violée d'abord mentalement et si l'obéissance ne fonctionne pas alors le viol devient physique. Toutes les fonctions de nos sociétés hiérarchisées sont responsables du viol de ses enfants. Sans le viol, aucune domination n'est possible. Le viol est base de toute domination politique. Un être humain transformé en machine obéissante qui ne pense pas la conséquence de ses actes est l'esclave perfectionné qui entretient la souveraineté politique. Ne pas savoir de quoi parlent les autres donne aux autres le pouvoir de stratégie de manipuler les croyants sans résistance. La croyance est la maladie de la pensée piégée. Celle des esclaves qui ne peuvent que nier leur condition servile tellement cette réalité là à croire est indigeste. Un esclave n'est pas une victime innocente, mais la base consentante de la domination politique de l'espèce. POUR-FAIRE-COURT re-définit les sens réels des mots employés à contre-sens. Bon appétit.

 

 

Public ?
C'est l'objet de la politique : la re-publique = le retour au peuple de la foule d'anonymes en ordre, ordonnée : donné par l'obéissance citoyenne de chaque esclave. Le cauchemar du politicien est le public qui redevient foule (= des êtres humains libres). Quand le public est en colère, la foule se soulève. La foule, c'est le public ingouvernable. Les forces de l'ordre servent à retransformer la foule en public : en république (en battant blessant et tuant quelques-uns de ses esclaves-citoyens sacrifiables).

 

Gloire ?
La gloire est un besoin de re-connaissance d'admiration de vénération de soi des autres. La gloire est le désir d'être re-connu soi vainqueur bon (sinon mal) des autres. Celles et ceux en recherche de gloire, à rechercher l'approbation des autres, sont incapables de vivre par eux-mêmes. La gloire a besoin d'un public (= un public d'anonymes obéissants car soumis par leur vénération). Pour être glorifié, il faut un public acclamant (= criant). Sans public, pas de gloire possible. Sans public, pas d'acclamation. Le désir de gloire est une invention politique. Le public aussi. La vénération aussi. Sans élu, pas de vénération qui génère et entretient la hiérarchie instituée du meilleur au pire, type. La vénération veut et admire la domination.

 

Gloire et Art ?
Le fait que l'artiste désire la gloire (et la reçoit) fait de l'artiste un complice de la domination politique qui cultive l'industrie de l'esclavage. L'artiste dans ce cas perd son statut d'artiste pour devenir un vendu à la domination politique : un faux artiste qui fait chanter son public enchanté par le chantage.

 

Artiste ?
La fonction de l'artiste où un être humain décide d'agir à créer inventer explorer l'inconnu pour le ramener dans le champ du savoir pour être perçu, pour être compris, par des moyens de perception différents que ceux utilisés par les gouvernants gérants de l'asservissement de son espèce, l'artiste représente avec ses oeuvres (et non sa personne) le contre-pouvoir envers une domination totalitaire des individus esclaves, et +, à la disparition prématurée de l'espèce humaine par affaiblissement de la volonté de vivre de ses individus. Les artistes créent des oeuvres pour se ravir (pas se divertir pour faire oublier sa peine). + les esclaves ne prennent pas conscience de leur état de servitude, + les vrais artistes intensifient la nécessité de créer des oeuvres d'art ou de musique (même si la censure politique empêche de jouir des oeuvres).

 

Argent ?
un moyen (pas une fin) qui permet au chantage d'exister pour appauvrir les dociles soumis et enrichir les salauds dominants. Le salaud domine parce qu'il triche aux règles qu'il impose et ne respecte pas la parole qu'il s'engage à tenir par contrat. L'argent rend la quantification possible du prix de la valeur dévalorisée du travail de l'esclave et des bénéfices globaux de l'industrie de l'esclavage.

 

Péage ?
C'est l'examen permanent de passage, résultat du chantage, qui rapporte par sa permanence le niveau de la docilité des esclaves.

 

Idole ?
Personnage fabriqué. La projection de soi croyant dans l'autre (mis en) image, vénérée, pour vivre par procuration une impossibilité vitale qui crée le manque permanent, pour obtenir la constance de son travail et son péage permanent : remplir son vide, creusé par sa frustration, un vide permanent pour ne jamais sortir de sa condition humiliante servile d'esclave protégé par son déni qui s'oublie dans l'image adorée de l'idole.

 

Esclave ?
Être humain employé avec illusion de récompense de rente minimale salariée * : la base de l'industrie de la machine politique souveraine de l'asservissement. L'esclave par son travail entretient ses maîtres. Une manière de vie abdiquée et inconsciente, tellement l'esclave est conditionné par la croyance à ne plus pouvoir percevoir sa réalité. L'esclavage est la fonctionnalisation de l'être humain ou faire de l'humanité une machine servante et servile fonctionnelle, confondue avec service, rendue méprisable et méprisée par ses gouvernants qui en jouissent. Ça, dure depuis 5000 ans (contre 200 000 ans d'existence de l'espèce). Aujourd'hui les esclaves sont remplacés par les machines et détruits par des virus.

 

Service public ?
L'asservissement général exige une intendance pour la gestion nationale des besoins minima du troupeau au travail. Ce service de la servilité est devenu privé, car l'économie des besoins des esclaves payants est une source d'enrichissement supplémentaire alimentée par les esclaves eux-mêmes qui payent pour travailler. L'administration des esclaves, gérée par les esclaves, utilise le chantage, la menace et la punition pour obliger les administrés à leurs obligations imposées dans lesquelles l'enfant qu'il elle était s'est fait piéger avant qu'il elle ne puisse jamais prendre conscience de son asservissement.

 

Surpopulation ?
Le nombre des esclaves des troupeaux nationaux dépasse la capacité bénéficiaire de la rentabilité. C'est une première depuis 5000 ans, où les maîtres salauds emploient des méthodes de réduction du nombre (= la guerre) depuis le dernier baby-boom après la 2de guerre mondiale, dont la dépression psychique, par l'imposition de la privation d'agir (chômage), la peur excessive (impliquer les civils dans les attentats terroristes), physique avec les propagations virales volontaires (HIV, SRAS, COVID), etc., sont quelques outils de réduction de personnel, pour accroître les fortunes instituées.

 

Divertissement ?
Art transformé en attraction publicitaire avec récompense à croire gagner « pour rien » ce qui manque (est, ce qui est cru) pour capturer les esprits qui pourraient se détacher du troupeau pour se questionner pour penser. Le divertissement ou loisir est une stratégie de diversion, à pointer son attention ailleurs, sur de l'insignifiant, est le moyen de faire croire à l'esclave à la « réalité du bonheur » (sic) qui doit demeurer sa raison de vivre pour endurer le labeur de sa servilité. Le divertissement entretient l'esclave qui le satisfait.

 

Nation ?
Enclos à esclaves parlant la même langue, numérotés, identifiés, gérés pour leur rendement au travail. Une permission de sortie, exige un passeport national, une autorisation papier, signée, payée.

 

Président de la republique** ? 
Le gérant, des esclaves parlant la même langue, désigné par les propriétaires (et non par les esclaves qui votent minoritaires, crus majoritaires de leur élu cru) pour leurs avantages (et non pour ceux des esclaves). « Comment est-il possible d'acclamer une personne qui est désignée à te nuire ? » « par toi qui n'es que le produit d'une chaîne de travail qui nourrit le privilège qui n'est pas le tien » est le résultat de cette gestion.

 

Racisme ?
Invention politique (= haine patriotique) pour éviter à ce que les esclaves enfoulés puis publiqués des différents enclos ne sympathisent : qui aurait pour conséquence (désastreuses pour les oligarques propriétaires des troupeaux) de détruire les limites qui les confinent (et les libérer). La haine = le dégoût des autres (« sales voisins » sic, « sales sauvages » sic) est le résultat du conditionnement qui amplifie et entretient la peur des étrangers par le mensonge des infos télévisées. Le racisme est le résultat de sa colère enfermée dans sa peur avec son agressivité qui ne s'adresse pas à la personne responsable de sa misère.

 

Confinement ?
Mot à la mode à partir de 2020. Sonnant confiture ou confiserie (bien que confiture et confiserie sont de la famille de la confection : de la fabrication et non de la limitation). Confinement signifie : enfermement volontaire imposé avec conséquence d'étouffement de son existence (sauf pour les artistes vivants dans leur atelier). Mot qui remplace par euphémisme le sens du mot qui fâche : emprisonner, emmurer, maintenir en détention. Dont la raison est de forcer l'autre à rester enfermé et se forcer soi-même à rester enfermé. [MÉDECINE] Interdiction faite au malade de quitter la chambre. [POLITIQUE] Interdiction faite au citoyen de quitter son domicile. La maison, la chambre, par le confinement, devient le contexte pénal de l'emprisonnement (la prison) pour isoler les indésirables en captivité, dont ils sont eux-mêmes leur propre geôlier. Un outil supplémentaire de réduction de la population esclave par la dépression. ***

 

Désobéissance ?
« Obéi ! C'est pour ton bien » (sic). Pour désobéir, il faut à la fois savoir (connaître n'est pas savoir) et être courageuse. Obéir confirme (et confine) son ignorance et sa crainte. L'obéissant n'est pas sachant, ni savant : l'obéissant est un ignorant en soumission volontaire. L'ignorance est éduquée pour obéir. Aucun ordre n'est jamais favorable aux obéissants. Sachant la raison du commandement, le sachant ne peut que désobéir.

Pour faire obéir, on inculque dès l'enfance la crainte par la peur du châtiment. Les animaux domestiqués, incluant les êtres humains domestiqués = civilisés, sont dressés par la crainte du châtiment et la récompense du salaire, du diplôme, de la médaille, etc., (= une piètre récompense qui dans l'humiliation complète apparait être une bénédiction : un bonheur).

Cette obéissance généralisée fait dans nos enclos nationaux des citoyens des esclaves. Ça, nous donne à comprendre dans quelle idiotie nuisible générale on vit. Cette idiotie générale du peuple croyant (= les esclaves, de la plèbe méprisée de l'empire, des humains foulés et publiqués), à vouloir être con-vaincu que sa servitude est « un devoir nécessaire (envers les autres) », bien qu'à travailler en permanence à leur nuire, sert l'État aristocrate (= le pouvoir du meilleur, classé en oligarchie par filiation pour sa permanence dans la hiérarchie) à jouir de son pouvoir à mépriser ses esclaves qui cultivent et entretiennent les privilèges des maîtres ; jamais les leurs : est une formulation redondante.

 

Bible ?
La Bible (incluant tous les autres écrits mythologiques des religions instituées par la domination politique et qui copient leurs histoires réciproques) (qui fut écrite après les livres de Platon) raconte des histoires pour servir de « parfait manuel de l'obéissance ». La Bible s'inscrit les codes des 1ères lois qui doivent être obéies. Les paroles du livre sont destinées aux esclaves. Leur ignorance est cultivée à considérer vrai ce qui est raconté dans la Bible, ça, pour s'emparer de leurs états d'esprit par les règles de la morale, pour les diriger, mais par eux-mêmes. L'esclave pour qu'il puisse nier être esclave doit volontairement venir travailler au labeur et croire absolument nécessaire, son sacrifice. Dans la pénibilité de vivre humilié, liberté violée, travail dégradé, individualité effacée, pour tenir sa motivation à vivre cette vie merdique, à entre tenir sa volonté de continuer à vivre sa peine, il faut une croyance solide, enracinée dans un imaginaire abondant, riche et merveilleux, pour que son déni puisse s'épanouir à nier la réalité de sa misère d'esprit par la conviction ainsi éduquée ou inculquée par l'hypocrisie du faux salut cru, dont la réalité est l'exploitation de l'esclavage. Toutes les religions institutionnalisées existent pour agir la même fonction sur les fidèles esclaves.

 

L'État ?
Du latin classique « status » = ce qui est placé debout. L'État n'est pas au centre mais « au-dessus » (de tout et de toi). C'est cette raison qui est défendue avec acharnement par ses disciples captivés. L'État est un système (réglé par des relations fixées) social autoritaire forcé que les êtres humains s'imposent à eux-mêmes, dont le gouvernement/la gestion leur échappe. L'institution de l'État sert à ses administrés à vivre irresponsables, innocents et victimes en échange de : l'abondance, le confort et la sécurité (= la capacité de terroriser par l'agression passive) assurés. « Nous sommes l'État », car nous participons toutes et tous à entretenir sa domination par le travail (salarié), la peur et le péage par l'argent que notre travail procure. Sauf les étrangers. Les étrangers définissent les limites de l'État. Les étrangers définissent les amis et les ennemis de l'État. Les étrangers ennemis définissent la raison du pillage, du racisme (de la haine de la différence, car l'État assimilarise pour ) et du viol pour réaliser la guerre (= la capacité de terroriser par l'agression active). Le racisme est une invention de l'État, comme l'état perpétuel de la violence cultivée par la création de l'ennemi. Pour rentrer et sortir d'un État, il faut des « autorisations », dispositif essentiel pour interdire par la violence armée les déplacements des populations transformées en peuple culpabilisé. L'État est le système de gestion des esclaves de la machine nation pour l'Empire. L'État est né par la violence des armes en fer, il y a 5000 ans. La raison de l'État est la violence pour l'appropriation et la rétention : 1. du sol, 2. des plantes, 3.des animaux, 4. des êtres humains et de tout le reste, et imposer une souveraineté pour domestiquer, soumettre et enfermer les êtres humains à l'origine libres. Les esclaves sont la propriété de l'État. L'État entretient l'oligarchie. L'État entretient la pauvreté. L'État entretient l'hostilité permanente par la guerre perpétuelle ; intérieure en soi et civile et extérieure, celle raciste pour le pillage. Si l'hostilité générale disparaît, l'État disparaît (= la police et l'armée détruit ses armes) ****. L'État n'est pas une communauté, mais agit son opposé : isoler ses individus domestiqués, accumulés, amassés, et multipliés, pour les uniformiser à ce qu'ils se croient confortés. L'État aujourd'hui se mondialise pour créer une autorité planétaire unique.

 

Domestication ou Apprivoisement ?
Certains dictionnaires croient la domestication être l'apprivoisement. Pourtant les racines latines réciproques « apprivitiare » et « domesticus » n'ont pas le même sens, ni la même phonétique, où l'une désigne un acte privé, personnel, et l'autre désigne la soumission de son comportement au travail de la maisonnée (du domaine) où les domestiqués sont enfermés. Domestiquer signifie soumettre. Apprivoiser signifie accommoder une relation humaine/humaine ou humaine/animale par la familiarisation = le rapprochement progressif pour donner à comprendre ses comportements réciproques pour les apprécier mutuellement. La violence de la domestication conditionne, dompte, éduque, dresse, force  pour que la personne ou l'animal domestiqué obéisse, au contraire apprivoiser sympathise. La sympathie de l'apprivoisement apaise l'effarouchement des 2 individus qui tentent le rapprochement à adapter leurs différences pour pouvoir vivre l'un prêt de l'autre. Apprivoiser sert à se faire des amis, domestiquer sert à obtenir du personnel servile. Apprivoiser, concerne la relation qui est maîtrisée pour la rendre unique : privée. La domestication viole la liberté que l'apprivoisement respecte.

 

Les Mythes ?

Les mythes sont des histoires pour faire obéir les esclaves. Avec l'hypocrisie de la croyance religieuse à la figure suprahumaine masquée par des personnages secondaires qui dissimulent ce pour quoi ces histoires servent : le dieu État.

 

L'Histoire ?

L'Histoire est une histoire, celle qui sert à glorifier les dominants pour leur donner raison de dominer les autres consentants et non-consentants à construire leur histoire par réaliser leurs spectacles. Cette prise de conscience du comportement historique unilatéral a été révélée par les historiens eux-mêmes à partir des années 60 du XXe siècle. La multilatéralité de la réalité de l'existence humaine en société a donné depuis différentes histoires de l'histoire de l'humanité. L'hostilité régnante par l'imposition étatico-politique à obliger les fonctionnarisés à rédiger une seule histoire prépare le façonnage du mythe à croire.

 

La presse ?

La presse est la rapporteuse du spectacle humain en société, celui exclusivement visible du pouvoir politique des dominants. Donc faussé. Elle prépare le façonnage de l'Histoire à inculquer, à croire être la seule vraie.

 

La guerre ?

Activité humaine qui s'interdit la paresse et qui sert de témoignage à la capacité humaine de créer l'horreur ; ce, par jouer du pouvoir politique à manipuler les esclaves pour « les sacrifier » (sic) pour en retirer la gloire pour le spectacle pour l'Histoire. La guerre est l'activité majeure qui cultive l'esclavage : le produit et l'utilise. On comprend alors l'existence permanente de la guerre ; qui prend différentes formes dissimulées dans l'hostilité constante entre toutes entre tous contre tous ; qui provoque entre autres l'isolation affective entre toutes et tous. La haine sociale des classes est la génératrice nécessaire de la violence pour créer et entretenir ses voisins être des ennemis (qui est la raison du pouvoir politique armé étatisé) pour générer la permanence de l'hostilité qui cultive la permanence de la guerre et civile et donne raison à s'attaquer entre nations (que pour piller et plier les vains culs).

 

...

 

 

Dissimulation de la vérité ?

Se dissimuler ces vérités favorise l'hypocrisie sociale qui favorise les paradoxes de la croyance = considérer pour vrai une histoire fausse qui favorise l'incompréhensible ou piège la pensée, ça, par la contradiction de la contradiction de la contradiction, etc., ce, pour que la vérité demeure inextricable. La vérité inextricable est ce qui favorise en soi les maladies psychiques puis physiques. Ce jeu du mensonge du mensonge du mensonge, etc., généralisé par l'éducation se retrouve rassemblé dans les livres et les encyclopédies pour se donner à croire à travailler pour la « connaissance » (= à quelque chose d'important, sic). Mais la connaissance n'est pas le savoir, la connaissance est ce qui est supposé être cru pour se r-assurer nos états d'esprit effrayés à vivre de liberté et de paresse, à vivre une existence sans hostilité, au contraire de celle fabriquée du spectacle banalisé du pouvoir politique qui « gère ses » (sic) propriétés esclaves à être le public témoin de sa gloire fabriquée.

 

 

Notes

* Salaire = sa ration de sel. Remarque des étymologistes québécois : « En raison de son importance pour l’alimentation humaine, à élaguer la fadeur des céréales bourratives, et pour la conservation des aliments, le sel occupait une grande place chez les Romains de l’Empire. Pour cette raison, le sel servait de monnaie d’échange. Par exemple, on en versait à chaque soldat-esclave une ration appelée “salarium” (du latin “sal” = sel) contre son obéissance à se battre sous commande. Plus tard, “salarium” désigna la solde versée en échange de travail pour acheter le sel, les vivres et le reste, puis, par extension le sel désigna toute forme de salaire. » Le sucre qui depuis l'industrialistion alimentaire a pris la place du sel, où tout aliment et physique et spirituel est édulcoré, ne se monnaye pas. Dû sans doute à sa généralisation à tous les produits consommés (médicaments y compris).

** pourquoi un r majuscule à republique alors que la publique est publique : est commune ? Et pourquoi le public de république est féminin ? c'est pour la chose. Mais quelle chose ? Les affaires de l'industrie du travail à gérer : la chose publique = la gestion du travail des esclaves.

*** Confinement : du latin classique « confinium » = frontière. « Jusqu'aux confins du territoire, on sait ; au-delà ? Nous ne savons rien ». Confins = contigu, voisin. De con- = avec et fin = fini, signifie : la limite. Comment du sens de « limites/frontières communes » passer à « l'enfermement » ? ça à partir du XVIIe siècle. Par l'intention autoritaire de la souveraineté obéie des esclaves volontaires ? Non, en se retournant contre soi-même. Le peuple est l'entité artificielle éduquée à agir contre soi-même et ses membres. C'est ainsi que le pouvoir politique (= l'autorité) s'installe dans les esprits asservis qui ne peuvent qu'agir que par soumission. Nous savons que l'air confiné est un air irrespirable. Il faut alors ouvrir les fenêtres et les portes pour aérer. Cette aération est une libération de l'oppression de l'étouffement.

**** Si l'État était un générateur de paix, comme beaucoup veulent le croire, le budget de l'État (l'argent amené par les esclaves) ne favoriserait pas l'armement. La paix avec des armes est un leurre politique. Les 1ers meurtres volontaires apparaissent à l'âge du fer, quand les 1ères épées furent forgées.

 

 

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