start : avant-mars 2014 miajour 28.05.2017
dernières nouvelles : octobre 2017
À d'apt àt iO
Eh ! les Bébés s'Évadent !
des-montages de sens de VIbre
création au studio Art Zoyd avec ORCHESTRE MOUVANT DANS L'ESPACE
produced by Art Zoyd studio: Gérard Hourbette (October 2016, 1rst movement)
Commande d'Art Zoyd décommandée ou non honorée, la musique reste inachevée.
[à partir du 17 OCTObre 2016 au studio Art Zoyd]
OÙ ON EST NAÎT UN NU ? mais non, je te rassure.
8∞
démarriage = retire l'amarre démarre du rivage pour partir à ∞
MUSIQUE ! d'un monde sans espace & sans temps ?
ADAPTATIO. Hey! Babies get away!
ADAPTATIO. Eh ! Les bébés s'échappent !
musiciens du :
eScpace Experienced Ensemble ou + : de l'ADAPTATIO des mères de l'invention
non, des bébés de l'évasion
in memoriam Jimi Hendrix: 2 short life 2 Xplore but not 2 Xplose, in memoriam John Cage: satori life in hearing sympathy between humans
1. trompettes + électroniques : Jean-Pierre Soarez
2. batterie de percussions, voix : Romuald Cabardos
3. pianorgmorphe, guitares électriques, violon pékinois, synthétiseur analogique VCS3 EMS, voix : le compositeur Myster Shadow-Sky
4. pilotage et mixage de 3 spatialisateurs valdinguant les sons des 3 musiciens : l'ingénieur du son : Timothée Buquet pour le 1er mouvement puis : ...
DA ROSE DA BLEU
ou : le LAIT mêlé au SANG et le bleu vu au CIEL-jour-dieu,
où les femelles fillées puis femmées rêvent da bébés, et les mâles garçonnés puis hommés rêvent da s'évader
DA BLEU DE L'EVASION
Pour l'évasion, le seul souci est 1. qu'on ne vole pas mais on construit des engins, et 2. qu'on est coincé entre ciel et Terre sur une surface d'une épaisseur de quelques kilomètres de la surface 0 du niveau de la mer, où vivre sous l'eau n'est pas impossible (bien que toujours enfermé / contradictoire à l'évasion), mais la pression empêche de stationner trop longtemps (au-delà d'1 km). Grosso modo, ça nous fait une épaisseur de 4 km autour du globe (encore que les zones trop chaudes ou trop froides restent inhabitables). Comparer cette mince zone finie vivable à l'immensité (sans fin percevable) de l'univers invivable observable, donne le vertige et la prise de conscience de la rareté et de l'improbable qu'une vie humaine puisse se développer là, dans un espace si étroit ! : 4 kilomètres contre 880 mille milliards de milliards de kilomètres [ou 88 x 10 puissance 21 zéros ou 82,8 ou 93 milliards d'années-lumière presque visibles : aujourd'hui l'estimation tourne autour de 93 pour le diamètre d'obsevabilité et de 45 milliards d'années lumière pour son rayon d'un observateur terrestre].
CETTE CARTE est le PLAN d'évasion retenu (une partition de la musique) D'UNE PARTIE SIMULEE DE L'UNIVERS DANS LEQUEL NOUS VIVONS, large de 50 million d'années lumières (dans la hauteur de l'image), notre GALAXIE (environ 200 milliard d'étoiles, 100 mille années lumières de diamètre) nommée "VOIE LACTÉE" = ou LAITEUSE (milky? dans sa manière d'être way of life) EST : INVISIBLE
distribution de la lumière simulée (calculée en séries opératoires = algo- (= douleur) rythmes*) dans l'univers intérieur. Au-delà de l'horizon de l'univers invisible observable, on ne peut que spéculer = imaginer avec les données datas récupérées cueillies et rassemblées (exerçant notre intelligence)
DA QUOI S'AGIT-IL DANS L'EVASION ?
Alors ? S'évader où ? de cette bande de 4 km d'épaisseur autour du globe.
Vers une autre mince bande ? séparée d'un espace incommensurablement mortel ?eVasion : sortir d'un mi-lieu (evadere) d’où il est interdit de sortir. Interdit posé par la mort (de l'individu, pas de l'espèce entière). Et l'impossible qui doit être renversé en possible. Si Copernic pensait au voyage interstellaire, ça ne pouvait être que par l'entremise de sa divinité. Où l'évasion se passe là, par la mort. La mort est une évasion : on sort du lieu de la vie par transformation : l'arrêt des flux. Un passage sans retour (ne serait-ce que pour savoir : comment ça c'est passé ? la transformation empêche de communiquer par les signaux connus). Pour quoi vouloir sortir de son milieu ? s'en évader ? désir si fort des mâles. Que des mâles ? Pour éprouver sa liberté. Une pulsion pour Sortir du Sein du Nid, sortir du milieu (paradis) prouve sa capacité d'indépendance et d'autonomie, pour la perpétuation de l'espèce. L'autonomie renforce sa force de vivre, que le contraire fragilise. L'évasion est une fonction vitale : celle d'épanouir son intelligence en embrassant le courage de sa liberté (que le confort perpé-tué du nid maternel tarit). Les dictatures politiques puisent leur raison dans le matriarcat, bien qu'elles sont érigées et gouvernées par des mâles. Mais ces mâles sont des mâles frustrés qui ne vivent que par le moteur de la ran-coeur (se surmâlisant dans la phallocratie ou le machisme pour masquer leur lâcheté) : la vengeance de sa condition misérabilisée à ne pas avoir quitté le nid à temps.
Donc les mâles sont occupés à s'évader. Et les autres ?
(lire l'article IDENTITY in : Le Mouvement du Monde tome 2 à mai 2016, et NU, le livre de l'Oubli du Reflet)...
DA ROSE DU LAIT DU SANG
Eh bien oui ! le rouge du sang mélangé au blanc du lait, ça fait du rose. Le liquide rose adoré des fillettes (celles qui se préparent avec leurs poupées au rôle matriarcal de la mère fécondée). La femelle, là, vierge, prend soin de son intérieur : sa matrice : le nid de l'oeuf de l'embryon croissant en bébé (à proportion : petit corps empoté d'une tête maladroite trop lourde qu'il faut re-tenir de toute chute possible, même si son corps reste mou : le choc à la tête tue). 3 années pour notre mise en proportion : ta tête portable. Bien, mais qu'est-ce que le bébé a à voir avec le rose ? Pourquoi cette adoration démesurée du rose par les fillettes occidentales ? qui : + le confort est élevé, + encore le rose est idolâtré, s'accompagnant du mignon obligé et de sucreries ? Un comportement tellement recultivé qu'il devient un stéréotype dans l'excès écoeurant : le cucul gnangnan affecté. Qui veut boire du lait au sang ? Qui ? même avec du sucre ?
...
DA ROSE DE BEBEISATION
L'agitation ovoïde dans le corps récepteur désirant...
Oui ?... Quelque chose ne va pas ? - mais, mais, comment tu parles de LA Femme ! c'est insultant ! - Pardon ? mais, où est l'insulte de :
parler de l'ontogenèse et de la phylogenèse hermaphrodite de l'Univers ?des bébés en préparation
les mères de l'invention
OVO autogénération des univers-monde (avec sourire) OVO Ovule d'Orchestre Vibrant Organise
Dans le monde des quanta (quantum), matière et vibration se confondent : on ne sait plus très bien à se retrouver dans le paradoxe de l'oeuf et la poule : qui engendre qui ? parthénogenèse = reproduction de la vierge par hermaphrodisme (comme les escargots et les fleurs) ? C'est ce que les astrophysiciens cosmologues imaginent de notre (nos) univers : un ventre = expansion, un noeud = contraction (le big bang représente le ventre en expansion de la contraction non-infinie) : forme qu'on retrouve dans les ondes stationnaires d'un corps sonique tubulaire (comme les flûtes).
les Bébés de l'OVO
Bébéisation :
Bébéisation : re-entrer dans le nid : cAPTure (captura = prendre et se faire prendre) d'où on ne peuRt pas s'échapper (un temps). La survie du bébé dépend des soins conjoints de la mère et du père. Il faut rester au nid et oublier pour le mâle ses désirs d'évasion, occupations incompatibles avec l'enracinement maternel souhaité au foyer : protéger au chaud des désagréments que la nature et leur société offrent aux vivants. Le degré de tolérance aux désagréments dépend de l'évaluation culturelle dans l'habitude par un certain degré de confort : + le confort est élevé (à vivre de la servilité des autres) + l'intolérance est insupportées + la peur augmente + on se sent démuni + on fait des conneries (à prendre toujours les mauvaises décisions pour les autres). La richesse du confort n'est pas la solution du bon-heur, mais une « addiction » à la domination de sa peur (par couardise, par lâcheté). Bien que dans la vie, il n'existe rien, vraiment rien de réellement d'effrayant (que l'emprisonnement du conditionnement par la croyance).
On n'a pas vraiment besoin de ça, pour élever les bébés.
...
DE MILIEUX-MONDES ET LEURS COMPORTEMENTS
Ce qui est étonnant (pour un musicien) c'est que les explications de notre univers-monde se base sur le vibratoire, en particulier « le tambour cosmique », dont sa signature spectrale (fondamental + harmoniques de l'Univers) et les théories unificatrices relativité+quantique (à unifier la relativité générale déterministe du monde trop grand à la physique quantique probabiliste du monde trop petit) qui parle de cordes, de (mem)branes (M theory), de boucles gravitationnelles, puis de noeuds topologiques dynamiques : tous VIbrent.
L'infini ? c'est pas pratique à calculer. Donc, pour pouvoir continuer à travailler = à constituer un univers cohérent = pensable possible, il faut re-partir de l'idée d'un univers fini (même s'il se regénère à l'infini). Giordano Bruno s'est fait brûler vif pour l'infini, pour rien ? ne sert que pour lui, et apporte pour nous.
La musique est un bruit hétérogène. Homogège, elle provoque l'ennui (le fond du bruit du silence intoléré) : il faut donc que ça change ! tout le temps, en permanence (est sa croix transgressée au XXe siècle : musique massive continue). La forme, les différenciations de formes sont possibles grâce au monde hétérogène, su homogène « dans le fond ». Bien que l'univers ne soit constitué que par 3 principaux éléments atomiques (matière baryonique) : l'hydrogène puis l'hélium, puis l'oxygène, mais en proportion plus faible (abondance de Si normalisée à 10^6 : H 10,5 ; He 9,4 ; O 7,2. ; C 6,8 ; Ne et N 6,3 ; ... : le graphique est visible à l'article « Abundance of the chemical elements » chez wikipedia), la diversité perçue est au niveau du classement impossible. Comment est-ce possible ? La combinatoire ne suffit pas. Voire, elle tourne en rond à se répéter à se réfugier dans la mono-tonie de la ré-partition homogène.
...
CARTES RE-PARTITION DE FORCES
L'univers-grain perçu par sa texture explique la théorie des boucles gravitationnelles de Carlo Rovelli (2004) qui au contraire de celle des cordes ne se perd pas dans la multidimensionnalité qui offre trop de solutions 10^500 (!). Ce qui est intéressant est que la synthèse (harmonie) granulaire fut introduite en musique par Xenakis commençant leur introduction par les nuages de grains (les notes) calculés selon « le comportement du nombre d'évènements se produisant dans un laps de temps fixé » (la loi de Siméon Denis Poisson **) pour varier l'homogénéité de la répartition : la partition, en effet, était recalculée pour une ré-partition de l'intervention des grains (notes), produit par chaque musicien en orchestre (en amas, sans cluster statique comme pour Ligeti).
Une « partition » de musique (les différentes parties pour chaque musicienne du tout syn-phônê = de la fusion sonique) sert (a la fonction) comme une carte à se localiser. Les divers symboles graphiques utilisés (pour révéler le contexte) mesurent le taux d'énergie désiré et provoqué dans la position donnée et, de manière proportionnelle par rapport à ce qui se passe là en même temps dans l'instant de ce qui vibra vécut avec ce qui vibrera vivra.
[les conséquences des flux de forces sur des éléments passifs (notes et musiciens de l'orchestre cybernétiqué) est une pratique, aujourd'hui pour les compositeurs, obsolète]
Rappels + récents (fin XXe siècle)
Au-delà des répartitions d'éléments passifs dans l'espace, l'écriture 0ndale *** turbulente dans un champ (le berceau spatiotemporel du lit du torrent) mobile (qui ne reste pas en place) permet la transposition, la transformation et la métamorphose de son champ directif (par exemple un tuyau d'arrosage arrosant à pleine puissance, laissé à lui-même, reste encore prévisible) dans son registre (espace de différents champs scalaires possibles en mouvements) ouet à un autre/s, autrement que sur lui-même (par exemple, la projection sur dans elle-même de la théorie de la musique tonale), mais projeté sur d'autres champs scalaires (par exemple, la théorie des champs scalaire nonoctaviants). C'est pas compliqué : en fait, on projette ça là, ou là-bas, sur autre chose pour obtenir autre chose avec ça : du différent avec du même.
L'écriture éphémèrôde ***** en réseau élastique de connexions de boucles élastiques (molles) forme un amas qui n'est pas une distribution statistique ni homogène ni hétérogène, mais des groupements et dégroupements d'interactions locales, permanentes et en masse dans sa globalité, créées par des liens de métamorphoses (trans- etou super- mutations, positions et formations) et scalaires (de rapports d'intervalles en amas) et des sonorités par des transformations progressives (modification) des timbres des instruments (ce qui est au fond la même chose : des rapports de fréquences stabilisés pour la mesure et l'identification, ici déstabilisés = mis en mouvement) : ma musique où nos identités s'évadent.
Aussi, il y a la musique moins hermétique en calcul (de cailloux) car la limite du calcul est la contrainte (un calcul est une brique logique qui s'incère avec les autres pour se figurer un système COHERENT : la musique n'a pas cette obligation de la cohérence, ce qui rend son champ imaginaire beaucoup libre et + vaste) le jeu libre de jouer au jeu : la forme jeu-musique de la composition devenant une proposition musicale initiée avec Ludus Musicae Temporarium en 1980. Ça laisse le choix.Da partition d'à d'APT àt iO, eh ! les bébés s'évadent ! est : un plan d'évasion précis, une stratégie de désorientation des poursuivants (les auditeurs) : dans une course à l'allure soutenue. La précision est nécessaire à l'entrainement pour réussir la "magie" des figures proposées, ensuite, c'est l'interprétation interactive qui gère.
...
DA FORME MUSICALE DES BÉBÉS QUI S'ÉVADENT de la musique d'à d'apt à TIO
Enchevêtrement de boucles élastiques déphasées (rythmées pour la danse dans une allure allègre) projetées sur des champs nonoctaviants en transformation (amas d'intervalles indépendants de l'attraction de l'octave et, de la quinte) avec des instruments qui s'efforcent de modifier continuellement leur sonorité tout en valdinguant dans l'espace 3 dimensionnel à travers les auditeurs-mélomanes en besoin de sympathie.
3 vitesses globales (non locales ou intimes) superposée par musicienne :
1. la vitesse des changements de touchés (du touché instrumental gouvernant son PPOV = position pression orientation vitesse),
2. la vitesse des métamorphoses de timbre (gouvernant son PPOV = position pression orientation vitesse),
3. la vitesse des trajectoires spatiales 3D (gouvernant son PPOV = position pression orientation vitesse)...
DA MATIERE PREMIERE DES BÉBÉS QUI S'ÉVADENT de la musique d'à d'apt à TIO
Oua oua, eui eui, ouain ouain, oueu oueu... OUI tout ce qui whawhate. La langue préverbale des bébés qui expriment leurs désirs (faim, sommeil, bobo, inconfort = pipi caca, exigence d'attention). Ma fille à 1 an m'a exprimé une variété d'expressions vocales préverbales enchantantes à ma demande que j'ai enregistré puis échantillonné jouable sur un clavier. Tout ce qui whawhate est le résultat dynamique d'un filtre
un seul mot BLUDLODLOY préverbal de ma fille avant sa 1ère année de vie
plein de mots préverbaux de ma fille avant sa première année...
LES ECHELLES NONOCTAVIANTES DE LOCALISATIONS spatio-temporelles
0.
LE GROUPE DA TOUT 257/+DE500
Les échelles nonoctaviantes avec lesquelles je conseille avec insistance de se familiariser
= de les jouer au clavier MIDI :
[Le format SCALA pour les claviers Pianoteq et le format NI kontakt, tuning script pour le sampler Kontakt]
1. télé charge le paquet des 257 échelles (sur + de 500 non encore publiées) au FORMAT SCL (SCALA)
2. Pour le sampler NI kontakt, c'est pas encore publié en paquet globalLes Autres GROUPES en paquets :
1.
GROUPE DES NONOC/TAVIANTES HARMONIQUES
1. les intervalles de la série hamonique scalérisé et séparées en 2 groupes :
1. les nonoctaviantes prochoctave au-delà de 12,5 cente (1/16e de ton)
2. les nonoctaviantes prochoctave en-deça de 12,5 cents (1/16e de ton)
télé charge le paquet de 60 échelles harmoniques nonoctaviante SCALA
télé charge le paquet de 60 échelles harmoniques nonoctaviante KONTAKT
(dans la série, il n'y a qu'une seule échelle octaviante, celle de l'harmonique 51 de rapport 1,02 qui divise l'octave en 35 intervalles rigoureusement égaux)
[lire sa page http://centrebombe.org/livre/10.1.4.html pour comprendre]
2.
GROUPES DES MULTIPLES DU TON (historiquement les 1ères)
. 9.nonoctave.shadow-sky.scales.from.Z90.family (scala) : télé charge le paquet (la famille nonoctaviante du groupe des 1/15e de ton)
. 9.nonoctave.shadow-sky.scales.from.Z90.family (kontakt tuning script) : télé charge le paquet
. 11.shadow-sky.nonoctave.scales.from.Z96.family (scala) : télé charge le paquet (la famille nonoctaviante du groupe des 1/16e de ton)
. 11.nonoctave.shadow-sky.scales.from.Z96.family (kontakt tuning script)
. manque les familles Z84, 78, 72, 66, 60, 54, 48, etc., jusqu'à Z5 disponiblent à l'unité à leur page ou dans le paquet 53 :
= les premières nonoctaviantes découvertes dans les années 80 du XXe siècle : télé charge le paquet format SCALA
= les premières nonoctaviantes découvertes dans les années 80 du XXe siècle : télé charge le paquet format KONTAKT
[se présenter et lire sa page http://centrebombe.org/livre/10.1.html pour comprendre]
l'ABAQUE n'est pas inutile pour se repérer : télé charge la feuille A3
3.
GROUPE DES DIVISEUSES DE QUARTE (OU les DISEUSES DE CARTES)
. 29.shadow-sky.nonoctave.scales.div.4th.scala : télé charge le paquet
. encore rien pour kontaktGROUPE DES DIVISEUSES DE QUINTE de toux des mâles
46.shadow-sky.nonoctave.scales.div.5th.scala : télé charge le paquet
. encore rien pour kontaktGROUPE DES DIVISEUSES DE SIXTE (OU les VISEUSES DE SEXES)
. 31.shadow-sky.nonoctave.scales.div.6th.minor.scala [télé charge le paquet]
. 50.shadow-sky.nonoctave.scales.div.6th.major.scala [télé charge le paquet]
. encore rien pour kontaktMANQUE LES DIVISEUSES DES SEPTRES ET AU-DELA
Se présenter à la page : http://centrebombe.org/livre/10.1.3.html pour comprendre
4.
LE GROUPE DES DIVISEUSES DU RESTE (non-multiple du ton ni des intervalles de Z12 : tout le reste octavié dont on extrait la majorité nonoctaviante) NON ENCORE PUBLIÉ
5.
[LE DÉBUT D] UN GROUPE MARGINAL DE 6 ECHELLES COMPOSÉES
. echelle.composee.de.6.cycles.26,20,15,11,9,7.div1,7_918.cents: SCALA & KONTAKT ensemble dans le même paquet
L'EXPLORATION DES CHAMPS SCALAIRES NONOCTAVIANTS COMMENCE LÀ : http://centrebombe.org/livre/10.0.7.html ET NE FINIT PAS
...
QUELQUES RÉFÉRENCES MUSIQUES :
1986 . le jeu oua ouaeu avec l'embouchure de trompette dans : Child Spirit dans l'album : Je Suis d'Ailleurs en 1986 [télé-charge]
2010 . l'enchevêtrement de 2 boucles : 2 qui génèrent un rythme perpétuellement changeant, réalisé au synthétiseur analogique dans l'album : Asseeeeeeeeeeez [télé charge]
2014 . les pianomorphes qui utilisent un enchevêtrement d'échelles nonoctaviantes dans l'album : Les Fantômes de l'Ephémèrôde [télé charge]
2015 . le jeu filtre formantiqué sur un son d'EMS VCS3, la voix mâlées dans : 2022e Cérémonie du Regret de la Domination des Mâles dans l'album : la Bouffe passe par les PLIS [télé charche]
......
DOSSIER DE FICHIERS OU PREPARATION TECHNIQUE A LA MUSIQUE #8
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IMAGE REJOUISSANTE (FOND D'UNIVERS POUR FOND D'ECRAN)
MA GENERATION SANS PLEUR
La génération sampler (oui sans pleur). Cet instrument issu de l'idée de l'audible enregistré et utilisé « concrètement » comme élément (échantillons) (l') « objet sonore » à composer la musique (enregistrée à archiver). Contrairement au synthétiseur qui se joue instantanément (objet d'échantillonnage aussi), le sampler (qui a remplacé le piano pour les compositeurs) est l'instrument du compositeur. Avec le sampler, on localise un son pris considéré « mappé » (les conscéquences compositionnelle du mapping (= mappe monde) a favorisé les champs multiscalaires) et joué au clavier comme instrument de musique. La superposition de ces instruments forme un orchestre et leur disposition dans l'espace (fixe ou mobile) rend l'invisible audible : d'où l'OVO = Orchestre Virtuel Organisé (l'oeuf de la musique enregistrée, registered, inscrite) le désir logique du compositeur sans orchestre de la fin du XXe siècle et du début du XXIe.
Là, un exemple (une photo), un partch (NI appelle ça un « multi ») Kontakt (sans harry) de 4 sons mêlés en 1 seul (monodie multiple de 4 sons + 4 échelles nonoc-taviantes médianes autour de 100 cents : 67,9 cents + 73,68 cents + 111,73 cents + 119,44 cents) ou utilisables polyphoniquement en quatuor (pas tueur mais tuteur), sortie oct (pas ave) mais ophonique (non trajectorisé individuellement ou en paquet par absence de contexte : une composition de trajectoires ne peut se réaliser qu'ajustée à un contexte acoustique précis pour être effective à l'auditeur, bon j'aurai pû, un bout, mais c'est aussi, là, par paresse) :
10 juillet 2016
Le 1er juillet 2016, je me suis évadé des États-Unis (Washington DC = la côte est puritaine ou les Américains immigrés affectés) "Shadow-Sky Emergency Escape Plan". Je suis revenu (en Europe, même de l'ouest, on peut s'arranger une vie moins merdique). Ce qui me donne du temps à me consacrer au livre que je dois écrire « L'Ephémèrôde l'esprit de la musique », sollicité par Frédéric Acquavia qui veut le publier avec du papier à Berlin et, à la composition de la musique « À d'apt àt iO, Eh les bébés s'évadent ! » qu'ensemble nous allons réaliser à Valenciennes au studio Art Zoyd à partir d'octobre 2016.
J'en arrive à la précision du contexte de « Eh les bébés s'évadent ! À d'apt àt iO » :
1. L'effectif minimum des musiciens de l'orchestre est 8. 8 pour habiter pleinement l'octophonie (la 3D spatiale audio). 8, car il y a 8 entrées dans les 4 spatialisateurs Orfeusz 206 qui diffusent sur 24 voies (4 x 6) à mixer en 8 voies octophoniques. Mais si on compte le pilote des 4 spatialisateurs + le pilote du mixage, ça fait 1 ou 2 personnes musiciennes en +.
2. Le cheminement se précise : il forme 4 moments, 4 mouvements (au sens classique) : 1. largo, 2. moderato agitato, 3. allegro hilare, 4. presto/prestissimo.
3. Il y aura aussi une musique enregistrée (8 pistes) qui tient le rôle de la police : interdire aux autres, par le procédé de l'arrestation (le déterminisme est prévisible).
4. Cette musique est une chasse à l'homme : une minorité de l'humanité entraînée : à enfermer, à attacher et à tuer les autres êtres humains majoritaires et non entraînés.Pourquoi les bébés ?
C'est une démonstration par l'absurde : on naît avec de grosses têtes aussi lourdes que notre corps, on tombe + qu'on marche, on court difficilement, on a besoin de l'autre pour se nourrir (comment Victor de l'Aveyron, l'enfant sauvage a-t-il survécu de 1 à 11 ans seul dans la forêt ?) : la tétine de la mamelle de la mama et quand y a pas maman, c'est papa qui prend la relève, les bébés savent tout sans pouvoir l'exprimer, l'éducation efface le savoir pour imposer imprimer un programme d'obéissance (pour toute une vie). Les bébés évadés signifie la fin de l'humanité débile dans laquelle chaque être humain naissant n'a aucun choix de vie. Les bébés évadés délaissent l'humanité pour vivre libres ailleurs.Le jeu « des bébés qui s'évadent » est un jeu de stratégie à éviter à ce que les autres t'arrêtent (arrêtent ta musique : te censurent, t'interdisent, etc. Les interdits règnent en abondance dans nos sociétés, au contraire du logement et de la nourriture : base de vivre). Dans la musique, il y a 4 contextes à l'évasion qui sont les 4 mouvements de la musique :
1. l'emprisonnement (espace étroit de rééducation = de reconditionnement par l'humiliation)
2. l'ourdission (élaborer un plan en secret = une renaissance dans le contexte approprié de la vie hors domination)
3. l'évasion (sortie des contraintes créées par les interdits (à ne pas confondre avec les tabous qui contrairement aux interdits, leurs transgressions peuvent (mais pas toujours) rendre la communauté vulnérable à son éclatement) l'interdit, lui, soumet à l'obéissance)
4. la poursuite (la chasse à l'homme = l'épanouissement de la violence. Le contexte par excellence où le délire d'assassinat s'épanouit comme une ivresse, une possession qui par certitude (= ignorance) se délecte dans le viol)L'ordre importe peu, ça ne change pas la musique. 4! = 24 où chaque contexte peut être la cause d'un autre : toutes les 24 relations se vérifient.
La durée (du morceau, aïe) importe peu, aussi, ce qui compte, c'est que la musique puisse se re-ussir (ressortir) avec le temps qu'il faut pour sa re-ussite (action de ressortir).
...
Voici voilà le PLAN d' À d’APT àt iO, Eh ! les bébés s’évadent !, posant les 4 mouvements avec les 4 contextes de la musique :
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&
DOSSIER DE PREPARATION TECHNIQUE A LA MUSIQUE #8
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27 juillet : mise en question et éclaircissements
Evasion et musique
« Le temps ? du toujours et du jamais » qui fait respirer ta chair.
« La diversité des langues favorise la diversité des peuples. La diversité des peuples favorise la guerre » dit Borges. Pourtant, la diversité (= de divertere = aller dans des directions diverses) des sonnants favorise le partage ; l'adversité (d'adversus = situé en face) de l'université (d'universus = qui forme un tout) crée la concurence ; alors que l'uniformité des sonnants favorise la querelle et sa carence (de carentia = privation) : la soumission l'hypocrisie et la mutinerie.
Changer ? Comment ? Quand « l'habitude est + forte que la volonté » ? Oui oui... on sait que l'habitude est tenue par la peur (de changement) qu'il suffit de lâcher pour s'en débarrasser définitivement.
L'espace étroit de la musique (= la vie bras tendu) en Occident est : [oui ? non.] le perpétuel recommencement de l'évasion (à chaque vague générationnelle), voilà quoi est la caractéristique de l'histoire de la musique occidentale polyphoniste. Quand le compositeur tire vers la précision de l'abondance de la diversité, l'interprète est acculé à l'obéissance pour entendre cette diversité. Et dans l'autre sens : quand le compositeur est acculé à la simplicité, voire au mutisme (le cas aujourd'hui), l'interprète jouit de sa liberté dans laquelle il répète les mêmes figures apprises.
Depuis les polyphonistes du XIVe siècle, on peut considérer 7 siècles de cercles vicieux à chaque « révolution musicale » : « je t'aime, moi non plus ». Mais il existe une autre voie qui dans l'histoire de la musique n'a jamais été tentée : composer avec l'abondance de la diversité inquantifiable : sans mesure chiffrée, sans rien à compter, mais comme au fond chacun de nous au fond le sait : agir la capacité de se proportionner à l'autre par l'immédiat de la conscience musicale (= celle qui ne se réfléchit pas, étant, mettant un temps doublé à l'action de la musique : à se réfléchir) dans une multitude de possibles. Avec cette autre écriture musicale, il ne s'agit pas de découper le temps pour inscrire des synchronicités figées avec des points et des barres, il s'agit de dresser des tables, étaler des mappes pour se localiser parmi les autres en mouvement à agir sans obligatoirement tracer (= planifier) son voyage [1].
Son propre cheminement (de vibre vivre la musique) oui ! où il s'agit de s'émerveiller de s'étonner de la surprise inattendue tout en sachant où voyager [2].
Ce qu'on nommait « partition de musique » (une des parties du tout destinée à chaque musicien de l'orchestre) à suivre avec le doigt à l'allure de la séquence (+ ou - dense dans l'agglomération synchronisée en même temps) de-vient un ensemble d'opérations hors-temps ou algorithme non systématique (pour favoriser la surprise) mémorisées pour se rendre capable de se diriger en fonction de l'allure de son désir, de l'intensité (pression/force) et de l'amplitude des gestes dans l'étendue, dans les directions considérées nécessaires.
Ce qui est nommé vulgairement « notes de musique » sont en réalité des points de localisation de vitesses, d'amas de vitesses dont l'amplitude d'une emmène les autres [à amplitudes égales de toutes les vitesses, nous ne percevons que du souffle, est la limite de notre perception des vitesses vibrantes. Le souffle des mouvements (respiratoires) est le masque du son qui est l'objet du vibrant. À amplitude égale de certaines vitesses, nous percevons des accords dans le son, comme pour les cloches par exemple.]
Cette autre écriture localise et achemine, sans horaires ni durée (dures). On ne se presse pas de manger ou d'aller dormir à des horaires préfixés que le travail obligatoire payé à la durée horaire appelle à obéir, à envahir sa vie, à ne pas vibre libre. Est l'aspect social de l'avantage de cette musique. Pour sûr, les dominants vont s'indigner, crier au scandale « on ne libère pas les esclaves puisqu'ils veulent vivre esclave » à perdre leur position asser-vie à servir d'être servi, de vivre par procuration avec le mépris de l'obligation des autres qui ne les soulage pas de leur misère d'esprit à cultiver la richesse « la forme la + gênante de la vulgarité »* à « faire souffrir les autres de la pauvreté ». Avec cette musique jouée, nous aurons franchi un pas hors de la misère de notre nuisance aux autres. Mais avant d'en arriver là, on ne peut pas ne pas passer par des passages. Et ces passages sont les étapes progressives entre la domination monoscalaire (que nous vivons) avec sa résultante médiocratique, voire l'idiocratique fermeture d'esprit à la compréhension polyscalaire qui sort du joug de l'Ordre pythagoriste (pour lui donner un nom autre que l'impératrice octave). Sachant qu'on n'entend pas ce qu'on ne comprend pas, le calcul reste dans 1 premier temps nécessaire à se figurer et à explorer les diversités scalaires malheureusement similarisées par notre conditionnement culturel monogamme : « ça sonne faux » puis jeté aux ordures ou simplement nié, voire complètement imperçu : « t'entends pas les différences ? Non. » Que du souffle sommateur qui masque l'existence des autres. Nous avons donc identifié la diversité par les chiffres. Chiffres qui donnent à la fois l'identité (en cent) de l'écart de l'intervalle de l'échelle et à la fois (pour commencer) son nom. La 100 (cents) est notre échelle exclusive qui exclut toutes les autres. La 200 est la « gamme par ton » (pas : partons) : reste et il y a toutes les autres (avec 2 chiffres après la virgule) inconnues, niées et imperçues. Qui toutes forment la table des différentes vitesses en couple dont chacun sonne d'une sonorité unique à s'étaler sur l'étendue audible. Le couple est l'intervalle qui est une proportion (x/y ou x√y) qui mis bout à bout forme l'échelle (= marches à distances égales) dont l'intervalle constituant (sans tuer) possède la particularité de vibrer une identité sonique propre. Tant que ces identités de couples ne sont pas liées à une familiarité particulière, elles gardent le nom de leur numéro. Il est important de signaler que cette matrice a + de 500 unités de mesure (= échelles) et ensemble tracent notre figuration spatiale à n dimensions du temps dans un enchevêtrement de lignes droites de correspondances entre toutes les échelles nonoctaviantes (où les octaviantes ne sont pas exclues, et enrichissent la matrice de 93 échelles supplémentaires [3]) et que cette mappe de localisation des vitesses audibles est un réseau multidimensionnel utile à la synthèse analytique des sons dans le micromonde, et aux accords (= l'harmonie = assembler) dans le macromonde de notre perception auditive [4].
Pour intégrer + de 593 identités et les familiariser avec un nom lié à leur effet reconnu significatif demande du temps. Moi-même, pour me déconditionner des 12 intervalles de notre échelle unique m'a pris des années pour ne plus juger « ça sonne faux ». Ce déconditionnement offre en retour le bonheur de la surprise et de l'étonnement de voyager son oreille dans tant de diversités inconnues à découvrir [5].
Notes
[1] Imaginons que nous n'ayons aucun choix que de vivre que des moments planifiés. Ce qui en réalité existe déjà (du travail au divertissement), mais nié. Mais en en ayant con-science (de conscientia = savoir en commun = connaissance) jusqu'à choisir le plan numéroté à obéir pour le moment à vivre : « demain je me fais le 47 avec Simon et toi... » serait le parler courant et banalisé des habitués à vibre une vie planifiée avec des milliers de plans possibles : est-ce une liberté ? Qui du créateur ou de l'utilisateur est libre ? Le « voyage organisé » a le numéro 73.
[2] Le sédentaire en dure, si, on le sait, a du mal à voyager. Il siège à la même routine (= route à vitesse constante ordonnée) de la répétition de la même échelle qui forme son environnement à sa mesure : le confort de la monotonie qui l'assure. À la vitesse du véhicule, on comprend le sens de la « hauteur de la note de musique ».
[3] remarquons que les échelles nonoctaviantes sont + nombreuses que les échelles octaviantes qui fait des échelles octaviantes une particularité scalaire.
[4] Notons aussi que la perception sonique ne s'arrête pas à nos oreilles. Nous percevons les ultrasons avec nos os (plus spécialement de notre boite crânienne + dure) et les infrasons avec l'eau de notre corps qui le constitue à ~70%.
[5] Anticipons que cette abondante diversité ne va pas être divisée, parcellée, scellée, appropriée par différents clans, prétexte à se guerroyer, à faire la guerre pour obliger l'autre à se défaire de ses choix pour intégrer de force ceux de l'agresseur, croyant éradiquer sa frustration à gouverner les autres, les voir obéir pour jouir de son pouvoir de constater les autres obéissants à ses ordres absurdes.
5 septembre
Economie
Finalement, je me tiens, en accord avec ton budget, à composer : QUE pour 3 musiciens.
Ce trio + 1 se compose de :
. 1 percussionniste-batteur, habitée par le groove, le swing, le balancement qui ne peut rien jouer de raide mécaniquement mais obligatoirement en souplesse pour le mouve de la musique,
. 1 trompettiste : Jean Pierre Soarez
. 1 clavier sans pleur + synthétiseur anal logique + 2 guitares et lectriques nonoctaviantes + 1 violon pékinois monocorde : (moi).
. + 1 ingénieur du son musicien.
Oui, L'INGÉNIEUR DU SON ICI EST LE 4e MUSICIEN DE L'ENSEMBLE (en charge aussi des scènes des trajectoires spatiales et de l'acoustique architecturale des différentes réverbes utilisées dans chaque mouvement, voir le 1er plan).Argument et mouvements
« Eh ! les bébés s'évadent (à d'apt à iO) » est une musique en 4 mouvements (4 scènes sans ménage) où les bébés refusent vivre la coutume de la domination et de la croyance réduisant l'humanité à se conforter dans sa bêtise. Donc d'un commun accord ils se tirent de là : du conditionnement à l'obéissance. à d'Apt à iO ou à Tolerancia c'est mieux !
Le 1er mouvement est la prison des bébés : 1 hymne à (non, c'est une blague) l'enferment
le 2d, les bébés ourdissent leur évasion : 1 hymne à (non, c'est une blague) l'ourdission
le 3e, les bébés s'évadent : 1 hymne à (non, c'est une blague) l'évasion
le 4e : les bébés sont poursuivis, pourchassés dans une stratégie d'échec et matés (pour l'arrestation et le re-enferment en prison) : 1 hymne à (non, c'est une blague) la chasse à l'homme.C'est le noeud perpétuel répété de la vie où les unes et les uns veulent enfermer les autres pour les rassurer et les servir. Da capo.
Le suspens de la musique : vont-ils se faire prendre ou non ? on espère que non ! pour les libres, et oui ! pour les dominés volontaires.
La partition (l'histoire sonique) que je commence à écrire (à la main au bic sur feuille A4 paysage) reste dans la simplicité de manière à essayer d'éviter de quantifier l'inquantifiable pour faire l'injouable et sans rouler les mécaniques, mais en restant ouvert en permanence dans l'inouï dans l'instant.
Aujourd'hui, j'en suis à la 7e page du 1er mouvement.Aspect instrumental de l'ensemble
Les instruments des 3 musiciens :
Le percussionniste assemble toutes sortes d'objets pour former une palette sonore inouïe qui dépasse le simple set de percussions classiques pour donner dans l'inattendu (jusqu'à la 7e page pour l'instant il y a) tel :
percussions-bruitage : 2 roues métalliques, 2 plaques métalliques charnièrisées (pour sa claque) bac de sable + bâton, bac de gravier + bâton, imitation du son d'enfoncement de pas dans la neige (relève du bruitage Foley), sons de chairs manipulées (melon ou courge), tissu à déchirer, feuille kraft blanche suspendue à percer et déchirer, 2 planches bois sapin 1x0.5m avec charnières, plaque galva 1x1m suspendue avec fil de nylon (pêche pour jeu archet possible), alarmes électriques 1 2 3, sirène manuelle (pour l'instant)... percussions classiques : grosse caisse symphonique, caisse claire, claves*, 2 temple block*, maracas au son fin*, click vietnam (woodblock très aigu)*, gong ageng*... (* = j'ai ces percussions)Le trompettiste se munit de diverses sourdines, joue de l'embouchure sans trompette, de la trompette sans embouchure, avec la main dans le pavillon pour oua oua (et débouche water), les pistons mouvant entre positions, de salives et de sons (de salive et de sans ?) inharmoniques choisis dans une échelle nonoctaviante. Des essais vont s'imposer pour l'adaptation.
Pour moi, je vais venir avec mes instruments suivants pour compléter la musique :
. mon pianorgmorphe = 1 ordinateur PC w7 tour i7 4GHz + programmes reaper, kontakt, pianoteq + clavier MIDI 88 touches + pédale Pitch Bend eowave
MANQUE pour l'instant : interface audio (type motu 8x8) + pédale volume clavier + pédale Control Change eowave (en +)
. mon synthétiseur analogique EMS VCS3 + son clavier DK2 (qui demande réparation, mais tes sous me permettrons de l'emmener chez Dierstein à Paris)
. mon jinghu (violon pékinois)
. mes 2 guitares électriques :
1 shergold (nonoctave) + pédales : pédale filtre (oui oui), pédale volume, saturation
1 epiphone (épi funny ?) + pédales : electro harmonix frequency analyser (ring mod), pédale cry baby (whawha)
1 ampli guitare HH V-S musician combo
MANQUE pour l'instant : ebow
. ma voix+
Les percussions que je peux amener pour le batteur-percussionniste :
gong ageng, claves, maracas, temple block, wood block très aigu (sans stand ni portique)...+
Les 2 spatialisateurs Orfeusz 206 qui ensemble offrent 4 entrées audio pour 2x6=12 sorties audio à mixer (routing mobile dans la matrice de la console) 12 -> 8 sorties octophoniques. Je peux pousser à 3 (j'en ai 4) ce qui donnera 3x6= 18 -> 8 à mixer (en gérant les différentes scènes de routing)
MANQUE pour l'instant : 2 ou 3 ordinateurs portable PC XP (j'ai le système sur CD) pour runner le programme de spatialisation de l'Orfeusz qui demande très peu de ressource CPU/RAM. (J’ai essayé le GRMTools SPACES. Ce qu’il n'a pas comparé à l'Orfeusz, c'est la sensation physique de la matière vibratoire volante traversante, ce presque ovni, l'Orfeusz a en + l'accélération elliptique. Le GRM Tools SPACES reste un panning soft, je préfère celui du sampler kontakt). Le mélange des Orfeusz (des différentes trajectoires) par les auxiliaires de la console est indispensable pour en varier les cheminements, les vitesses et les directions. Dommage que mes 2 SP1 d'Anadi Martel ne fonctionnent plus :( snif).Aspects techniques de l'enregistrement
L’enregistrement de la musique va se réaliser :
soit en 8 pistes pour l'ensemble (mixage à la prise),
soit 8 pistes par musicien (24 pistes en tout en sorties directes post auxiliaires).
soit les 2.En sortie de console :
Une (8 voies) ou 3 octophonies (24 voies) séparées une par musicien, en entrée dans le direct-to-disk type cockos reaper (ou autre, mais pas protools : oh boy côte ces affreux).En entrée de console :
. Trompette : boule de 8 (= 1 micro pour 1 hp) ou 6 micros octophoniques qui spatialise le mouvement de la trompette dans l'espace octophonique en bougeant autour. 8 micros en boule (prise extérieure) pour que Jean-Pierre se balade autour, 8 micros qui s'injectent dans les spatialisateurs via les dosages des 4 ou 6 auxiliaires. Avec les 6 AKG 535 en hexa, ça obligera au routing 6 -> 8 avec une manip en + : avec 8!/6!.(8-6)! = 28 figures (scènes) à la suite.
. Percussion-batterie : cercle de 8 (= 1 micro pour 1 hp) ou 6 micros éparpillés, suivant la disposition du set, qui par cette prise se disperse dans l'espace octophonique. 8 micros en cercle (prise intérieure) des percussions dont chaque canal peut doser les 4 ou 6 auxiliaires des 2 ou 3 spatialisateurs : la zone de jeu que prend un groupe de micros (à partir d'1 seul micro) pour l'envoi dosé dans les spatialisateurs (il faudra faire des essais pour s'adapter et comprendre le procédé) : avec les 6 Oktava mk012 en hexa ça obligera au routing 6 -> 8 avec une manip en + : avec 8!/6!.(8-6)! = 28 figures à la suite.
. moi : Pianorgmorphe (kontakt+pianoteq in reaper) : soit octo ou stéréo avec kontakt soit penta ou stéréo avec pianoteq. 8 sorties lignes de mon interface audio (j'ai une M Audio delta 1010 pas très en forme, si ça peut aider)
EMS VCS3 : soit mono soit 2 canaux : 2 sorties lignes du EMS VCS3.
Jinghu : 1 micro (+ coupe bas à 100Hz/200Hz sur la console).
Guitares électriques de l'ampli guitare HH : soit sortie directe (+ propre), soit 1 micro sur hp (+ riche).
Voix : 1 micro voix dans l'eventide orville ? avec 4 delays en quadri -> octo
avec même injection avec 3 ou dosages différents dans les 2 ou 3 spatialisateurs Orfeusz.Les 2 ou 3 spatialisateurs Orfeusz se disposent dans la console en auxiliaires en préfader (de manière à mixer le son traité du son direct qui dans ce cas sera un dosage de l'amplitude des mouvements spatiaux jusqu'à la fixité de la monophonie). Avec 2 Orfeusz, il y a 4 trajectoires à mixer pour 3 musiciens. Avec 3 Orfeusz, il y a 6 trajectoires à mixer pour 3 musiciens.
ce qui fait en nombre de canaux d'entrée de console :
avec prise octophonique : 8 + 8 + 8 + 2 + 1 + 1 + 1 = 29 canaux de la console pour les instruments
avec prise hexaphonique : 6 + 6 + 8 + 2 + 1 + 1 + 1 = 25 canaux de la console pour les instruments
avec prise hexaphonique, avec le VCS3 en mono : 6 + 6 + 8 + 1 + 1 + 1 + 1 = 24 canaux de la console pour les instruments
+ 12 canaux avec 2 Orfeusz à mixer et router en 8 pistes octophoniques
ou + 18 canaux avec 3 Orfeusz à mixer et router en 8 pistes octophoniques
+ (sans compter les 4 pistes de l'Orville quadri delay/harmoniseur pour rebond pitchshifté spatial de ma voix)
au minimum on a : 24 + 12 + 4 = 40
au maximum on a : 29 + 18 + 4 = 51
Ces 40 ou 47 (sans l'orville) canaux peuvent se dispatcher sur 3 consoles 16 canaux = 48 canaux.
Le dispositif est souple.Notons que : le mix de présence et le mix spatial, les prises de son et le jeu instrumental se font à la volée, « et si on se plante ? » on recommence, mais il n'y a aucune raison de se planter, car L'ERREUR FAIT PARTIE DE LA MUSIQUE EN JEU et chacun connait bien son instrument et toutes les prises restent bonnes dans cette musique des bébés.
Maintenant, il faudrait que l'ingénieur du son me renvoie son interprétation de ce dispositif d'enregistrement de ce qui dans l'adaptation est faisable ou pas avec ce qu'il est apte à disposer dans le studio avec mon dispositif spatial.
...
14 septembre
quelques indices :
1. les 3 première boucles du second mouvement à considérer comme modèle (partition audio) et non comme fin :
boucle 1, suite des valeurs de départ : 7 5 8 6 9 5 6 7 5 : écoute
boucle 2, suite des valeurs de départ : 6 6 6 6 4 6 8 4 6 8 4 6 6 6 8 : écoute
boucle 3, suite des valeurs de départ : 9 7 10 8 7 9 11 8 7 11, puis modifié : 9 7 12 7 8 8 10 8 6 10,
puis simplifiée : 9 9 9 9 6 6 12 9 6 9 : écoute
partition classiquée de la loop 3...
Les rythmes « qui font bouger » = qui incitent notre corps à bouger (si on aime danser) sont composés de valeurs qui satellitent proche de la valeur de pulsation. Trop de disparité annule la sensation de pulsation. Il s'agit rythmiquement dans le 2d mouvement d'accorder des différences dans un plan unique où chacun soutien l'autre à créer des possibilités que seul il n'a pas.
...
2. la préouverture etou le postfinale, une musique qui mêle le passé avec le présent des possibles harmoniques :
titrée « oui, tu le savais, tu savais que je t'aime » : écoute
...
Le 1er mouvement est écrit, j'ai entamé l'écriture du 3eme mouvement en même temps que le second.
Pour rappel :1er mouvement : l'enfermement ou le dressage à l'obéissance par l'humiliation : la prison de l'abondance restreinte.
Caractérisé par les STOPs, des évasions à la rêverie qui sont arrêtées et forcées à des obéissances à l'ordre dans la routine.
Globalement lent et mezzo forte.2d mouvement : l'ourdission du plan d'évasion : accord du groupe en secret de doute et de volonté à concevoir l'impensable.
Caractérisé par les changements permanents de propositions suivies ou pas (par les 2 autres).
Globalement modéré et mezzo piano à piano.3eme mouvement : l'évasion ou le passage dans des endroits crus impossibles à passer : les interstices inhumains.
Caractérisé par sonner des manières de jeux qui a priori paraissent insonables.
Globalement allègre et piano (pour ne pas se faire repérer).4eme mouvement : la chasse à l'homme : la course poursuite, ici : la chasse aux bébés évadés. Stratégie d'arrestation par la violence.
Caractérisé par une stratégie permanente de fuite : là où l'on croit être arrêté, on esquive ailleurs, là où personne ne s'attend être (là où personne par peur n'ose s'aventurer).
Globalement presto à prestissimo et de pianissimo à fortissimo.2 FINS à chaque fois possible :
1. soit la vélocité s'envole dans l'échappement => les bébés sont libres
2. soit la vélocité se ralentit dans l'abandon => les bébés sont capturés...
19 septembre
une des propositions insensées de la trompette (dans le 2d mvt : à concevoir l'impensable pour l'évasion) : une bartokisation ?
modèles partitions audio (son de piano) à transcrire à l'oreille :
. l'original à 1 voie avec l'échelle nonoctaviante du 21e harmonique à 84,46 cents (à 56 bpm à jouer jusqu'à 40 bpm)
. l'insensée à 1 voie avec l'échelle octaviante classique (à 40 bpm)
. l'original à 2 voies avec l'échelle nonoctaviante du 21e harmonique à 84,46 cents (à 56 bpm à jouer jusqu'à 40 bpm)
. l'insensée à 2 voies avec l'échelle octaviante classique (à 111 bpm)
21 septembre
A
Il est important pour l'ingénieur du son a se familiariser avec les spatialisateurs WAF Orfeusz 206 que nous allons utiliser et dont le programme (sur windows XP exclusivement), le manuel et midiyoke sont en paquetés dans le zip [6.6Mo] à se procurer là.La multispatialisation devient possible, car le concepteur Nicolas Holzem m'a offert 2 machines supplémentaires (production arrêtée en 2007). Aujourd'hui, je suis équipé de 4 Orfeusz avec ses 4 PC portables sous windows xp qui chacun pilote 1 spatialisateur pour former 8 trajectoires indépendantes dans l'espace à 3 dimensions avec 4 acoustiques différentes. Nous entrons là dans une réelle écriture dynamique des mouvements spatiaux de la musique (commencé en 1982 avec Ourdission à l'aide d'un ZX80 8 bit dont le programmeur et ingénieur Laurence Casserley a oublié sa programmation géniale qu'il a réalisée à l'époque). La particularité de la machine de Nicolas qu'aucune autre n’offre est : 1. la fonction (qu'il nomme) « boom » qui donne la sensation d'être « traversé par un son volant », 2. une forme de trajectoire variant la vitesse angulaire selon une loi de Kepler (la vitesse du mouvement de toute planète autour d'une étoile n'est jamais constante), 3. l'application de 4 effets (EQ, vibrato, chorus et flanger) aux mouvements dans l'espace, 4. le pilotage par 3 joysticks (avec attributs d'accélération et de frottement). Pourtant, les coordonnées spatiales XYZ des mouvements (des voltiges) sont inaccessibles (qui ne l'est pas dans le SP1 d'Anadi Martel). Sans compter les matrices des consoles de mixage numérique (routing) pour changer les chemins des trajectoires et, à travers les auxiliaires, de pouvoir toutes les mélanger. La console de mixage offre toujours la possibilité de métamorphose audio qui peut jouer des réverbérations à convolution pour des morphings d'espaces acoustiques qui dans la musique ici sont au nombre de 4 différentes. Avec les machines audio, on le sait, Rien n'est parfait, on exploite leurs « défauts », leurs « erreurs » qui enrichissent le possible qui dans leur perfection resterait fade (ce qu'on reproche aux programmes actuels qui prétendent spatialiser).
B
Je viens de rassembler les percussions utilisées dans le 1er mouvement.
Nomenclature :
. 1 métronome mécanique en bois
. 1 gong agen (le + gros de Bali)
. 2 roues métalliques qui grincent
. 2 plaques en métal jointes par charnières avec sangle de pied pour claquage
. du sable, bac de sable
. du gravier, bac de gravier
. 2 timbales symphoniques à pédale
. 2 planches de bois (sapin) 1x0,4 mètres jointes par charnières avec sangle de pied pour claquage
. des pas dans la neige (utilisation des techniques de bruitage cinéma)
. du tissu (à déchirer)
. des grandes feuilles de papier kraft suspendues
. 1 grosse caisse symphonique
. 2 poignets de billes de verre ou petits galets
. 1 paire de claves
. 2 temple block
. 1 paire de maracas au son fin
. 1 click vietnam (wood block très aigu)
. 1 plaque galva 1x1 mètre suspendue avec gros fil de nylon (pêche) sur potence en bois, avec système de mise en chute
. 3 différentes alarmes électriques (de maison ou de voiture)
. 1 sirène manuelle (à l'ancienne)
. 2 paires de chaussures à talons durs, une pour femme, l'autre pour homme + échos pour un son de pas en masse
. 1 baton de pluie pour les vagues de la merC
...
le 25 septembre
La technique de la forme des FENÊTRES MUSICALES (pas comme les chaises)
Les fenêtres s'opèrent, se réalisent par les couches. Dans une vie, les couches multiples se rangent selon la nécessité sociale du contexte de chaque individu. La couche principale est LE RÉEL CONSTANT IMPOSÉ par les autres : l'interaction sociale qui demande une attitude « de rigueur » et convenue = morale (à laquelle on se soumet ou pas = on y trouve son plaisir ou pas). Les autres couches sont les réels morcelés (considérés inutiles à la vie sociale et généralement niées), mais elles existent : apparaissent et disparaissent en RÉELS CONSTANTS MASQUÉS.
La caractéristique des fenêtres musiques est de s'ouvrir à autre chose (que sa routine (musicale)). Leur mode d'existence (d'apparition) ne dépend que de l'IMPROMPTU* (à l'improviste = inattendu) et de l'INTERROMPU** (= entre (inter) et rompu (= rompre = briser, casser) = stoppé arrêté soudainement par un phénomène extérieur pour rompre la continuité).
Attention : une fenêtre n'est pas une parenthèse, bien qu'une similarité puisse exister.
La parenthèse crée un interstice à l'intérieur, la fenêtre crée une ouverture à l'extérieur.Dans
LA TECHNIQUE DES FENÊTRESil y a plusieurs couches en même temps qui apparaissent et disparaissent en fonction d'un contexte favorable (ouvertes) et défavorable (fermées) :
1. la couche devant (celle qui masque les autres)
2. la couche derrière
3. la couche derrière derrière
4. la couche derrière derrière derrrière
5. la couche derrière derrière derrrière derrrière
6. etc. sanza fineLes couches derrières n'apparaissent uniquement quand la couche devant, celle de l'apparence (= faire croire autre chose de ce qui est), tombe. Les rideaux tombés dévoilent la fenêtre (prendre conscience). La couche devant perd sa place dans la vie avec l'alcool et les psychotropes, l'amour et la passion aussi, et la sincérité qui a le courage de se débarrasser de son hypocrisie sociale. La couche de devant sonne toujours faux : la capacité du musicien est de l'entendre. La couche derrière derrière dans la vie routinière n'apparait que pendant le sommeil : la capacité de rêver en dormant. Les couches suivantes n'apparaissent que par la capacité de « clairvoyance » ici d'entendre l'imperçu et de communiquer avec les êtres vivants qui avec la première couche active semblent inertes.
+ les couches sont profondes et + elles demandent une ouverture d'esprit.
+ les fenêtres sont étroites (obtuses) + il est difficile de percevoir la cohérence des couches, ce qu'elles donnent à percevoir.Dans le 1er mouvement de la musique d'adaptatio eh ! les bébés s'évadent !,
le contexte carcéral favorise l'ouverture mentale des fenêtres
avec pour tous les prisonniers les couches suivantes :1. la 1ere couche est l'obligation à l'obéissance humiliante. Et, qu'est-ce qu'il y a de + humiliant en musique ? Les gammes du conservatoire, l'obligation de jouer des morceaux moches pour être examiné et juger par l'ensemble des professeurs et de l'administration de l'école. Pour moi, l'ordre, l'horaire, l'obligation tous les jours à la peine inutile qui ne construit rien que servir le luxe à rendre sa vie misérable :
jouer des trucs pénibles. Et pour toi ?
2. la 2de couche est l'évasion à/par la rêverie. De courte durée, car : « on est rappelé à l'ordre ». La rêverie se forme d'idéaux imaginaires possibles ou impossibles importe peu :
jouer des trucs magnifiques.
3. la 3ème couche est le rêve pendant le sommeil qui pour chacun ensemble est différent :
jouer des trucs différents ensemble.
4. la 4ème couche est la capacité de débrancher la 1ere couche affectée de son absence tout en simulant sa présence. Sa présence pleine résidant dans la 4ème couche à choisir vivre sa forme d'existence. C'est elle qui cultive notre paix intérieure donne à relativiser et jouir de vibre. Elle est l'accès à la sagesse.
Jouer sa paix délectante.
5. la 5ème couche donne à percevoir l'imperçu et de communiquer avec :
jouer des trucs inouïs incompréhensibles pour un résident de la couche devant.
6. la 6ème couche est un état de détachement orgasmique dans lequel on ne peut résider en permanence au risque d'affadir tout le reste :
jouer son bien-être en vie à jouir.Dans la technique du mixage audio, c'est + facile à comprendre : chaque piste (couche) est le masque de la suivante qui est justement évité par le mixage afin que toutes les couches soient entendues. Nos sociétés agressives n'usent pas du mixage, mais + de la sélection pour entretenir la contrainte qui entretient la frustration qui entretient l'obéissance qui entretient la domination et réalise les vies merdiques de milliards d'êtres humains sur cette planète.
Les fenêtres, dans le temps, se baladent au hasard et s'ouvrent à chaque opportunité différente liée à chaque différent contexte (mouvements).
Notes
* impromptu est emprunté au latin in promptu = SOUS LES YEUX, SOUS LA MAIN, de promptus lié au verbe promere = fait de mettre sous les yeux sous la main (de quelqu'un) qui au XVIIe a pris le sens général de : ce qui se fait sans préparation, puis est sorti d'usage à la fin du XVIIIe siècle (pourtant, c'est bien ce sens auquel je pense : sans prévenir). À l'improviste est emprunté à l'italien : all'improvista = par surprise, de manière inattendue de imprévu et improviser. Improviste qualifie ce qui est improvisé au XVIe siècle, réapparait au XXe : soirée impromptue. Improviser est emprunté à l'italien improvvisare dérivé de improvviso = qui arrive de manière imprévue du latin improvisus de im- = in- et providere = prévoir (de pro- = devant et videre = voir) = pas prévu = pas préparé à l'avance, mais agi dans l'instant.
** interrompre = rompre entre n'a pas la même histoire que le mot interdire = dire entre qui au départ signifiait expliquer (= déplier) pour défendre : formuler une défense. C'est au XIVe siècle qu'il prend le sens de : pour excommunier quelqu'un de la communauté : le condamner à l'exil. Au XVIIe siècle, il va prendre fermement le sens opposé du sens premier : celui de priver quelqu'un du droit (d'exercer ses fonctions). Ce sens détourné de la punition, on le doit au christianisme à partir du XVe siècle pour signifier la « sentence ecclésiastique » : punir pour dominer. Ce sens se développe pleinement au XIXe siècle dans la laïcité (politique sociale) pour condamner les personnes désobéissantes, jusqu'aujourd'hui signifie : exercer des contraintes sur quelqu'un = nuire à l'autre. Ce détournement de sens montre indubitablement l'évolution historique de l'état d'esprit vers la nuisance, dans les rapports humains en société occidentale, et débutée par la religion chrétienne : la religion du châtiment (comme toutes les autres monothéistes) pour entretenir la frustration de la domination....
le 30
Il y a une partie du concert que j'apprécie particulièrement, c'est l'attente avant que ça commence. Pré-ouverture. Pendant cette attente (chaque fois que l'occasion m'en est donnée) j'en fais une composition musicale partie de l'oeuvre qui prend différentes formes selon les contextes et de la musique et du lieu. La salle d'attente, le hall d'entrée, sont des non-lieux de séjours, mais de passage : d'attente. Ici pour ADAPTATIO, j'ai composé : Le Paradoxe de l'Air (16:26 à re-commencer). En attendant la musique ? qui est déjà commencée. Pareil pour le post-finale.
Exemples de Pré-ouvertures dans mes oeuvres précédentes : Le hardcore du concert de l'Ephémèrôde à Cracovie (2014), la mélodie obsédante de l'opéra Les Rescapés de l'Hégémonie Culturelle (2008), le son tournant (quadri) de De l'Extase, la Musique Extrême (2007), le synthétiseur mécanique de Knots System in Miami (1998), le choral dénoisée de 2 Lamplayers Alive in New-Europe AD (1997).
et les fonds sonores...
seuls :
Le rêve des Femmes-Poissons (2004) où l'eau fait masque à la musique
Waiting Music for Boring Rooms (musiques d'attente pour lieux ennuyeux 1993-2004)
inclus en orchestre :
Les Lézards Etranges des Univers Improbables : épisode 1, épisode 2, épisode 3, épisode 4, épisode 5 (2005-2006)
inclus en récital :
l'Ephémèrôde carde des chrônes à Craco-vie (2014)+ pour ADAPTATIO le fond, le dernier derrière est composé, il se nomme : The Unanswered Questions (in memoriam Charles Ives qui en ralentissant la mélodie de l'hymne = mélodie très simplifiée- touche -avec octaviation- une forme de sublime regretté) en 60 minutes. Le fond sonore d'àd'aptàtio est ici subaquatique (underwater?) où l'air est présent aussi dans l'eau.
LA TECHNIQUE DES FENÊTRES (suite)
Le fond de l'air
Les couches dans la réalité physique, nous montre notre habilité à recevoir les différentes strates du vibrant, ou pas. Ce sont différents degrés qui se perçoivent en la profondeur. Le fond sonoré (plus communément nommé bruit -de -fond) est la couche dernière derrière. Le bruit de fond sonore (la rumeur de l'air = BB = bruit blanc) est la partie oubliée de l'audition : le souffle permanent qui nous permet de rester en équilibre : ne pas tomber étant de bout. Le souffle de l'air, de la présence de l'air.
Le paradoxe de l'Air
L'air est corrosif. Il brule. Il feu.
Et, il accèlère vieillir.
Le paradoxe est : sans air on meurt et : l'air nous fait mourir.
L'avantage de respirer l'air est de ne pas être laissé éternel = l'Ennui à Vivre (EàV).
L'Air fait vibre.
À l'air à chaque respiration on meurt 1 peu +.
Une projection vidéo de mots (comme pour Les Complices du Silence, mais sur un autre thème) est prévue avec ADAPTATIO. Pour l'instant, dans la préOuverture de l'attente (de la musique déjà commencée).
Le 3 octobre
Assembler, régler et ajuster les pianorgmorphes me prend (trop) du temps (inutile). Le sampler NI Kontakt a la fâcheuse manie de flouter le son : retirer sa présence et flouter ses détails et à l'inverse de le saturer numériquement trop aisément... Les réglages sont laborieux... et les clics numériques nombreux...
Ma première guitare électrique nonoctaviante [Shergold Meteor] avec son chevalet entre ses 2 micros : son cordier vient de se briser, après 30 années de résistance à la tension des cordes... Je l'avais modifiée à l'époque pour que la guitare puisse avoir une échelle nonoctaviante convexe, aux intervalles équidistants exponentiels. Mon autre guitare n'est pas modifiée...
L'écriture d'Àd'aptàtiO Eh ! Les bébés s'évadent ! est encore loin d'être achevée...
Les obstacles s'accrochent de partout ! et mon état de santé...
...
Le 7 octobre
Prise de son live 42 pistes qui en studio peut se diviser en 3 temps : 1. la prise instrumentale en 16 pistes PUIS 2. sa spatialisation en 18 pistes PUIS 3. son mixage en 8 pistes octophoniques :
(cliques sur l'image pour télécharger le pdf A4 et l'image png A4) :
Puis sa modification pour sa simplification retenue au 8 février 2017 : plus de prise de son hexaédrique ni tétraédrique live à cause des larsens, ce qui réduit le nombre de pistes et permet de travailler + aisément ses trajectoires propres ensemble. La trompette donnera toujours (dans ses moments brillants) une double perception à la fois acoustique de l'instrument et spatialisée de la sonorisation.
Feuille (scene) de patch (de routing) pour les chemins des trajectoires pour les 3 spatialisateurs Orfeusz
Et feuille des 28 routes (chemins) hexaphoniques (à 6 sommets ou virages) dans l'espace octophonique.
(cliques sur l'image pour télécharger le pdf et le png A4) :...
le 14 octobre
La moquerie du mépris agit en permanence la bêtise
Beaucoup de personnes « rigolent » de l'insensé du titre de mon ouvrage de musique politique : « Adaptatio, Eh ! Les bébés s'évadent » (surtout pour les bébés). Pourtant les bébés sont conditionnés à obéir au risque de mourir est, dans notre société occidentale un fait banalisé assimilé en nécessité pour la subsistance de notre société (son idéologie) : la subsistance de sa violence bien dissimulée : « moi ? Jamais ! » (sic) sous le masque de la fausse bienveillance qui est la marque du mépris. En effet, comme nous le dit Ronald D. Laing en 1966 : « nous nous détruisons effectivement nous-mêmes par une violence déguisée en amour » [1]. Le syndrome occidental de la dévastation est né de la peur de vivre ; pour se soumettre à la violence de la révolte dévastatrice. Je lègue ma vie à 1 faux Dieu dominant et omnipotent = je me soumets à ma souffrance pour justifier tuer l'autre. 2 milles ans d'histoire de l'Occident ne cesse de répéter en boucle l'amalgame de « violence déguisée en amour » : « - je t'aime - moi non plus. » [2]. La démence de cette équation ne sert que la terreur de la dévastation : la sienne d'abord et celle des autres ensuite. Nous avons annihilé toutes les cultures amérindiennes [3] sans aucune remise en question, ou si peu qui ne fait rien.
Comment se fait-il que cette violence se perpétue depuis tant de millénaires ? Eh bien : par l'éducation ou autrement dit par le conditionnement et l'endoctrinement. L'obéissance est la valeur majeure de nos sociétés. L'éducation des enfants ne passe que par donner des ordres et à ce que l'enfant à partir d'être bébé obéisse et se conforme : il doit être normé, normalisé, réprimé, pour en faire soit un ASSASSIN soit une PROSTITUÉE. En effet, il est tant de reconnaître que nous tous sommes tous des assassins et des prostitués « quelque soit la culture la société ou la nation » : « un enfant de 2 ans est déjà soumis, à une morale : IL FAIT LES GESTES ET ÉMET LES SONS “qui conviennent”. » [1] Le degré de falsification de la réalité en se défendant par du sérieux objectif avec une rhétorique comme arme de guerre de conviction au nom de la science ne résout en rien le malêtre millénaire des êtres humains qui composent nos sociétés monothéistes d'1 seul élu dominant = l'image de la fausse salvation (pour et en assassinant les autres). Le meurtre en masse est le but ultime de nos sociétés pour se convaincre d'être « les plus forts » (sic) à masquer sa peur par sa violence. L'institution de la terreur (par l'humiliation). La mystification est totale pour entretenir une civilisation conquérante qui anéantit toutes les autres par l'agressivité : de la bombe atomique nous sommes passés par les pandémies meurtrières bio-chimiques et aujourd'hui nous tuons avec « l'économie de la famine » (comme les brevets sur les plantes et les animaux). Notre mystification se trouve dans la constitution même de nos langues : les mots et les idées aux sens retournés par l'abus d'euphémismes et de malversations des idées (pour tromper nos amis ennemis) détournent le sens des êtres (de soi) par les mots pour en faire des objets commandés.
...
Il y a tant à dire pour révéler la supercherie millénaire de l'occident monothéiste assassin de ses êtres humains.
Qu'est-ce qui nous motive à cette autodestruction millénaire qui ne s'achève pas ? L'INVASION.
Pour former une « force d'invasion » (armée, ouvrière robotisée, employée), l'individu est nié : sa vie est sacrifiée au profit du groupe (qui profite à qui ?). Dans les nations agressives, tous les individus souffrent. Certains tentent de s'échapper par l'individualisme pour refuser de sacrifier sa vie à la violence que l'autorité (personne) confond volontairement avec égoïsme. Oui, le contresens est une arme de persuasion massive.
Notes
[1] Ronald D. Laing, La politique de l'expérience, 1967 (ouvrage, comme tous ses autres censurés en France depuis 40 ans).
[2] Serge Gainsbourg
[3] Les cultures africaines et asiatiques résistent, mais s'effacent peu à peu dans la guerre des technologies de masse du divertissement (= diversion, une stratégie militaire) dans laquelle elles abdiquent dans le plaisant. Le divertissement est une arme d'annihilation très puissante de la pensée et de l'action. Qui avec le cinéma est devenue une guerre mondiale culturelle à partir des années 70/80 du XXe siècle. Personne, non, personne n'en prend (encore aujourd'hui 40 ans après) conscience, car dans le cas contraire les arts ne se seraient pas fait dominer par les politiques culturelles de la diversion pour se transformer en animations et décorations à la gloire de la politique d'invasion (viol) pour perpétuer nos sociétés dans la médiocratie soumises à la violence.
le 15
la suite des pourquois
Très peu de parents remettent en question leur éducation surtout quand leur bébé prend la parole pour poser en rafale la suite des questions : pourquoi ? La justification du dénie s'enracine dans l'inimportance de ce que communique son enfant : le mépris de son enfant, car « ce qu'il exprime est insignifiant » (sic). Il n'y a que le philosophe qui sache qu'une série de pourquois annule le sens de l'affirmation de la certitude de la chose (à faire) et demeure une preuve niée de l'intelligence du bébé qui tente par là de faire prendre conscience à ses parents que leur amour n'est pas de l'amour, mais de la violence. Avant 1 an, un être humain est encore libre, bien que sa vie dépende de son allaitement et de son sommeil. À 1 an les bébés sont regroupés dans les garderies : les « crèches ». À 3 ans les bébés sont regroupés dans les « maternelles ». À 6 ans tous les bébés (presque) sont déportés dans les camps privés de l'État : l'école, à être conditionné à obéir en silence. Jusqu'au campus de l'université : à former les intellectuels de la propagande dominante, toujours pour la soumission à l'obéissance dans le silence. Jusqu'au master, ça fait 20 ans de conditionnement de l'enfance *. Qui peut s'en évader ?
Moi, donc toi.* remarquons que la durée de conditionnement des savants est + longue que celle des autres. L'éducation, nous le savons, est la manière d'endoctriner avec le langage des évidences renversées qui deviennent des mensonges convaincus.
J'ai fait une musique de pourquois, oui, elle se trouve dans l'album : 6 Milliards de Voix Sans Air, en 1996
le 16 (avant le départ en voiture chargée d'instruments pour Valenciennes) mais écrit le 25 septembre 2016
La musique est une sociologie gestuelle audible des particules
(particules, car on traite du particulier élémentaire). Le rythme écrit la gestualité, le mouvement, le comportement de chaque particule élémentaire entre elles qui forment un être en action vibratoire. Tout mouvement génère une vibration, même plusieurs. Une composition musicale s'organise comme une société d'individus en mouvement à cohabiter en faisant ensemble quelque chose de reversant = d'étonnant et de délicieux : d'inouï (qui comporte aussi les oeuvres « ratées » ; celles qui ne délectent pas l'audition) dans la vibration. Les vibrations s'échangent par la sympathie. Les rapports humains sont pensés en fonction de leurs vibrations qui s'échangent. C'est en ce sens que la musique mécanique est une régression (une simplification horlogère du vibratoire). Un perçu mesuré plus aisé à comprendre est magnifié au nom de la perfection mécanique + que l'immesurable incompréhensible de la musique simplifiée avec les outils de la vision. J'adore la musique. Elle est incontrôlable, mais elle se donne à jouer pour s'entendre. L'étape suivante pour comprendre le phénomène est d'être d'une inventivité rare pour exulter avec la musique.
L'une des qualités de la musique est qu'elle nous permet de fermer les yeux (dans notre monde peuplé d'écrans). Elle a la fonction d'un soulagement et d'une évasion vers une sensibilité et une intelligence non visuelle. Aussi, elle sollicite l'imaginaire, donne une réalité à ce qui ne le serait pas sans elle. Une image muette reste un souvenir. Un son aveugle est un phénomène présent.
le 27 (après 10 jours intenses heureux et détendus de création musique)
QU'EST-CE QUI S'EST PASSÉ CHEZ ART ZOYD au STUDIO ?
Cette résidence de 10 jours au studio (du 17 au 27 octobre 2016) Art Zoyd est une ré-amorce pour la musique polyspatiale (originale) transgenre jouée.
Oui. Dans le paysage dévasté de la musique que le commerce et les politiques se sont acharnés et s'acharnent encore à détruire, s'attaquant à la créativité et l'originalité du présent des artistes vivants, dont les musiciens en majorité restent complices, il s'est installé dans l'esprit des jeunes artistes l'impossibilité de jouer leur musique, leur art, au lieu de ça, ils jouent la musique des générations passées dans le dépit de retrouver quelque chose qu'ils n'ont plus : leur présent à eux. Durant toute ma vie j'ai fait fi des tendances politiques et commerciales de censure, à chaque période traversée, j'ai vécu dans ces temps sans attachement à aucune période ; ce que les industries (de la musique) et les politiques (culturelles) ratent et nient depuis 40 ans. Et depuis les 1ers mois du XXIe siècle, il n'existe plus de musique qui représente les nouvelles générations (que celles commercialement imposées), car cette nouvelle jeunesse s'est faite absorbée par le confort du divertissement à obéir aux lois obsolètes des anciennes générations pour la plupart mortes depuis longtemps. C'est exactement ça qui rend la situation urgente : la jeunesse aujourd'hui est en péril, elle doit reprendre son présent sous peine de schizochronie. Schizochronie ? des enfants qui ne peuvent naître que vieux à vivre dans un passé qu'ils ne connaissent pas à souffrir leur présent vide dans leur néant existentiel peuplé de diversions secondaires insignifiantes qui occupent l'esprit pour l'abrutir. Oui, c'est grave. Et irresponsable des vieux avides de pouvoir (et des jeunes cons qui suivent à ruiner leur vie à refuser de prendre conscience du désastre).
J'ai rencontré Gérard Hourbette créateur du studio Art Zoyd grâce à André Dion, compositeur et professeur de musique électronique, un homme d'une belle et généreuse sagesse. André me connaissant, le contact avec Gérard s'est fait instantanément. Depuis 2014 nous essayions avec Gérard de trouver un moyen de réaliser cette musique vivante avec ce transgenre polyspatial que je m'efforce de réaliser depuis 37 ans. L'espace en tant que moyen d'expression émotionnel pour la musique jouée (incluant aussi les champs scalaires nonoctaviants). Les restrictions budgétaires dont souffre Art Zoyd Studio sont aussi scandaleuses que de maintenir dans la pauvreté les populations pour les obliger à la servilité pour entretenir la vie parasitaire des gouvernants dans le luxe et le privilège (et le mépris). D'un orchestre de 8 musiciens (dont la participation des musiciens de l'ONL s'est exclue bien que dans le passé Art Zoyd a produit une création avec l'orchestre national de Lille), nous nous sommes réduits à 4 musiciens dont l'ingénieur du son et moi-même : un trio + l'homme aux machines spatialisantes.
Mais quels musiciens ! Jean Pierre Soarez (trompettes + électroniques, ancien d'Art Zoyd), Romuald Cabardos (batterie de percussions, nouveau d'Art Zoyd) et Timothée Buquet (l'ingénieur du son d'Art Zoyd) sont des musiciens hors pair par l'ouverture d'esprit, la curiosité, la passion, la sympathie, la gentillesse, la générosité, et surtout pour la musique : le courage du savoir-faire dans la situation inconfortable de donner corps à une musique improbable, et difficile ; mes propositions déconcertantes (dans le contexte social de la concertation générale pour la médiocratie où les réels talents sont censurés). Ensemble, nous créons une autre attitude musique, une autre manière d'entendre, de s'entendre, qui donnent une autre musique. En quelques jours, nous avons posé toute l'atmosphère particulière de la musique, des bébés qui s'évadent. Heu-reux !La complexité de la musique polyspatiale due à l'interaction des différentes formes de spatialisations utilisées (micspace + vcaspace + matrixspace) a réouvert ici la porte à une exploitation immense de possibilités avec cette manière de jouer l'espace musique (sorti de la standardisation que le cinéma impose à la musique à travers les outils numériques : oui, les outils numériques pour la musique sont exclusivement destinés pour le cinéma et non pour la musique). Nous recommençons ici à Art Zoyd Studio à réexploiter ces systèmes spatiaux hors de toute standardisation où le musicien joue avec son espace étendu. La félicité renaît !
Elle renaît aussi car la musique (originale) ignorée depuis 40 ans (en particulier celle transgenre ce depuis plusieurs millénaires) recommence à devenir nécessaire pour les rescapés de l'hégémonie sociale et culturelle (tant d'humains jouets de la Guerre Silencieuse, guerre qui sévit intensivement en réaction au soulèvement mondial de la jeunesse en 1968 contre les autorités irresponsables, oui : la destruction atomique. Aujourd'hui, on vit 48 ans de guerre, guerre économique et sociale pour asservir les populations par le salariat précaire, par la censure violente des oeuvres, par l'assassinat des artistes forcés au suicide (les vrais celles et ceux qui expriment dans leurs oeuvres la liberté de vivre « qui est une menace pour la domination politique » mais aussi pour la misère du monde)). Ici, avec cette musique des bébés qui s'évadent, il se passe historiquement quelque chose d'important qui va au-delà de nos propres intensions de vies. Une réamorce pour la liberté de créer, pour les futures générations à revivre dans leur présent nié.Le 1er mouvement d'Adaptatio, Eh ! les bébés s'évadent ! est enregistré. En mars 2017 nous enregistrerons le second mouvement rythmiquement très différent du 1er. En mai, nous enregistrerons les 3e et 4e mouvements. En juillet nous allons réenregistrer le tout avec la polyspatialisation en temps vivant puis mixer la musique en octophonie (écoute avec 8 haut-parleurs en cube pour une réelle 3dimensions) et une stéréo (en binaural ?) pour les démunis ? L'album sera publié dans le réseau Internet au centrebombe.org et nous l'espérons par un label courageux curieux et généreux pour lancer ce nouveau mouvement musical. En octobre le 1er concert à Toulouse/Albi, en novembre à Cracovie, en décembre à Amiens, nous l'espérons et ailleurs nous l'espérons aussi. Pour vous.
Ah !
les photos arrivent... 4 arrivées :
travail au studio Art Zoyd les 17 au 27 octobre 2016 avec Jean-Pierre Soarez : trompettes, Romuald Cabardos: percussions, Timothée Buquet : ingénieur spatial du son et Myster Shadow-Sky : composition, guitares électriques nonoctaviantes, synthetiseur EMS VCS3, pianorgmorph, violon (sans viOler) pékinois. Photo : Simon Léopold.
...
Prochains rendez-vous :
: enregistrement des 2d et 3e mouvements
: enregistrement des 3e et 1er mouvements
: mixage stéréo et octophonique (real 3D space avec 8 hp formant un cube)
: sortie du disque virtuel et, du DVD octo + CD stéréo (s'il y a label)
: 1er concert Toulouse/Albi
: 2d concert Cracovie
: 3e concert Amiens
...Reporté en 2018
23 novembre 2016
Le 1er mixage (40 minutes stéréo) des premières prises de son du 1er mouvement est fait, et comme le dit si bien Jean Pierre Soarez : « un bien bel embryon qui, évidemment, ne va que se bonifier au cours des prochaines séances ! ».
Pour celles et ceux mélomanes curieux et curieuses d'entendre, il suffit d'envoyer une requête au compositeur.
26 janvier 2017 (cadeau d'anniversaire au compositeur pour mes 56 ans ?) NE NOUS FACHONS PAS !
Les engagements tenus par Art Zoyd ont été brisés, à la limite de l'annulation de la création musicale même : les rendez-vous prévus de mars, mai et juillet 2017 ont été annulés contre 2 fois 4 jours en juillet. Mais 8 jours pour 1. intégrer la spatialisation polyspatiale live au mixage et au routing dynamique, 2. déchiffrer et mettre en place les 3 autres mouvements d'ADAPTATIO, 3. enregistrer les 3 autres mouvements (et réenregistrer le 1er dans la foulée) avec le dispositif spatial live, 4. mixer le tout avec le dispositif spatial triple hexaphonique en 3D octophonique (8 pistes) ; est irréel et irréalisable, voire méprisant et pour la musique spatiale vivante commandée, si difficile à concrétiser (équipements inadaptés des studios et salles inadaptées de concert), et pour le travail du compositeur. Pourtant, les musiciens Jean-Pierre Soarez et Romuald Cabardos ne veulent pas abandonner la musique, même sans être payé par la production, ils veulent terminer ADAPTATIO et la jouer en concert, ce qui était convenu par tous à la fin de la 1ere résidence d'octobre 2016. C'est vrai que nous avons 3 engagements possibles de concert : 1 à Cracovie, 1 à Amiens et 1 à Toulouse pour 2017 et 2018.
Comment en est-on arrivé là ?
La mésentente simulée ou involontaire (à se positionner en victime en accusant l'autre) est le souhait conscient ou inconscient de briser un lien.
. l'échange de lettres email qui a enflammé le rapport entre le compositeur et le producteur [.txt 28Ko]
. le contrat qui concède les droits d'auteur du compositeur à Art Zoyd (article 3) en échange de 2 000 € brut (article 3) à échéancier de paiement conditionnel à date-butoir (article 4) : la moitié à la commande et l'autre moitié s'il y a concert organisé par le compositeur avant décembre 2017 [.doc 45Ko] Ce contrat est aujourd'hui rompu (lire l'échange de lettres).Quand le monde de la musique s'interfère avec le monde des affaires de l'économie bénéficiaire à sens unique, le musicien, la musicienne se trouve être prise en otage et n'a que 2 choix : soit refuser sa prise en otage et ne pas réaliser sa musique ou, soit réaliser sa musique et accepter sa prise en otage et se positionner en porte à faux avec ce qui devrait être entendu de sa musique, mais ne l'est pas. Le pouvoir dégueulasse de l'argent sur la musique permet au producteur de s'emparer, d'exiger et d'humilier tout créateur sous contrat. L'action du pouvoir de la ruine à devoir payer l'impayable (sou)tenu par la Justice, est le squelette institué pauvres-payants/riches-payés de nos sociétés mercantiles. Cette hostilité artistes/affairistes s'est intensifiée à la toute fin des années 70 du XXe siècle. À partir du moment où les directeurs commerciaux ont remplacé les impresarios (quand le mépris a remplacé la sympathie) ; et à partir de ce moment là, les artistes ont été considérés comme des denrées méprisées jetables : à produire des morceaux à consommer rapidement. C'est à ce moment-là que la musique authentique s'est retirée du marché, car La musique n'est pas une marchandise. Le cas du bras de fer violent entre Prince et la Warner illustre la tension, elle a émergé parmi d'autres, innombrables. Le pouvoir de censure de l'industrie de la musique envers la musique est, par les liens verrouillés de la distribution, fatal et total : « contracté, soit tu es applaudi, soit tu es humilié » (souvent les 2 à la fois). L'industrie de la musique s'est approprié le pouvoir absolu de faire exister la musique ou pas (avec ses créateurs). Et en effet aujourd'hui, la musique a laissé la place sur le marché à la « signalétique sonore » et à l'emprise des « droits d'auteur » par les majors contre les artistes.
Mais la situation avec Art Zoyd n'est pas celle avec les majors. Gérard est compositeur et Monique gère les subventions publiques allouées au studio qui font vivre les permanents et les intermittents (à la limite, dans l'incertitude constante). Les subventions publiques sont conditionnelles, inadaptées et limitées, ce qui donne aux institutions publiques ce pouvoir de terreur que se sont approprié les majors de l'industrie privée de la musique. Pour que la subvention publique soit versée, le caractère « social » du projet artistique (qui est le critère majeur) doit être validé et obéi sous peine de suppression, semble logique. Mais la suppression de la subvention ne dépend jamais du critère (une situation n'est jamais un archétype), mais dépend du jugement d'un seul individu de la fonction publique au pouvoir (de nuire). L'argent public de la politique culturelle finance majoritairement l'emploi (la mise en esclavage) des artistes. Il s'agit de ça : empêcher les artistes d'être libre de créer en toute liberté. Il faut savoir que les hauts fonctionnaires de la politique culturelle européenne, nationale, ou régionale (aux salaires + que confortables), ne vont pas distribuer ce qu'ils gardent sans condition pour eux, à des artistes qu'ils méprisent. Pourquoi les politiques redoutent-ils tant les artistes ? Parce qu'ils savent que les artistes rendent obsolète par leurs ouvrages (créés en toute liberté) tout gouvernement (institutionnalisé) des autres. Dans le cas des compositeurs invités à réaliser leurs oeuvres chez Art Zoyd Studio, il leur est alloué une résidence de 10 jours. Et pour 10 jours de travail, cette résidence est très bien payée (à part le versement conditionnel et la concession totale des droits d'auteur). Et 10 jours payés conformes aux lois du travail. Sauf que le travail commence bien en amont avec la composition de la musique et se poursuit bien en aval avec les répétitions, l'enregistrement, le mixage, l'édition et les concerts. Une création originale d'une oeuvre musicale investie (pas bâclée) avec orchestre et système complexe de spatialisation demande un long temps de travail. L'engagement d'Art Zoyd envers les compositeurs invités s'arrête à 10 jours. Les projets ambitieux restent exclusifs à Art Zoyd. On le comprend, sinon Gérard n'aurait pas monté le studio, tout en faisant profiter modérément les autres à montrer aux financeurs que le studio est public et non privé est la nécessité à l'existence même du studio.
Sauver la musique concrètement (trop ambitieuse pour notre contexte de misère) ADAPTATIO. Eh ! Les bébés s'évadent !
Si on se tient à la réduction drastique (de 2 fois 4 jours au lieu de 3 semaines) créant cette situation inconfortable, impossible ; ça m'oblige en tant que compositeur à reconcevoir la musique d'ADAPTATIO. De manière à réduire les répétitions (ce qui signifie réduire la qualité de la musique) pour ne se concentrer que sur les prises de jeu de la musique sue des musiciens. Et, si c'est possible... entamer le travail jamais tenté du mixage final de 3 hexaphonies dans une octophonie (3 fois 6 voies dans 8 voies du mixage final). Mais, ce n'est pas possible.
Dans ce contexte d'appauvrissement, l'apport en percussions chères d'Art Zoyd doit être revu : les 2 timbales à pédale et la grosse caisse symphonique (et mon gong) doivent être remplacées ; et dans notre contexte de musique spatiale jouée (pas enregistrée-diffusée), l'échantillonneur (sampler) va nous venir en aide pour éviter 1. l'instrumentarium encombrant à transporter et, 2. les prises micros qui larsenent dans la sonorisation de la spatialisation. En réalité, il n'y aucun choix que d'abandonner ce qui était prévu. Utiliser le studio Art Zoyd pour ce qu'il apporte : le mixage spatial octophonique. 4 jours de prises et 4 jours de mixage octophonique.
Là, il faut résoudre le problème des répétitions avec les spatialisateurs. Un autre local, une autre sonorisation octophonique, un autre producteur.
Il y a certainement une autre solution :
Lettre à Gérard Hourbette
(et sa réponse) :RÉSOUDRE OU NE PAS RÉSOUDRE LA MÉSENTENTE ? LÀ EST LA QUESTION
toi - Moi qui pensais qu'avec les années accumulées, ce genre de situation se raréfierait !
moi - Eh bien, ça montre que ta réputation est encore insuffisante à faire respecter les engagements qui te sont octroyés.
toi - Autre point important : ma motivation n'est plus au rendez-vous. Elle reviendra, et elle est revenue !
Prochains rendez-vous :
: ANNULÉ
: ANNULÉ
TOU EST EN SUSPENS = incertitude, en attente de résolution :: mixage octophonique en "real 3D space" avec 8 hp formant un cube (le mixage stéréo sera réalisé à l'atelier du centrebombe)
: sortie de l'album dans le réseau Internet au centrebombe
et, du DVD octo + CD stéréo sur le label d'Art Zoyd: In-Possible records
Les concerts dépendent de la résolution, à savoir si la musique ADAPTATIO. Eh ! les bébés s'évadent ! est produite ou pas.
: 1er concert Cracovie
: 2d concert Amiens
: 3e concert Toulouse
: 4e concert Albi
...Fâché ? non, pas fâché.
8 février 2017
Nouveau schéma de mixage polyspatial simplifié :
+ les 28 chemins continus de routing hexaphoniques dans l'espace octophonique (reste les chemins discontinus beaucoup + intéressants) :
28 chemins hexaphoniques uniquement pour les trajectoires continues. Pour les chemins discontinus qui apparaissent ça et là et disparaissent ça et là. Ils sont beaucoup + nombreux grâce à leur incohérence, et à leur qualité d'être incompris. Pratiquent l'inattendu.
Mathius (on pianomorph) at ART ZOYD studio thinking: how to marry a precise score with free playing with polyspatial 3D sound system?
HOW TO CREATE POLYSPATIAL MUSIC WITH AN ENSEMBLE OF MUSICIANS IN OUR POOR SOCIAL CONTEXT FOR THE ARTS?
Le 8 février 2017 le même jour
Art Zoyd annule sa commande en cours de réalisation : ADAPTATIO. Eh ! les bébés s'évadent !
Motif ? Insupportable par Art Zoyd.
ÇA
Ne signifie pas que l'oeuvre est abandonnée.
Jean-Pierre Soarez et Romuald Cabardos ne lâchent pas ADAPTATIO. Aï ! les bébés s'évadent !
Nous cherchons une autre production et un studio d'enregistrement équipé en octophonie (console 32x8 à routing numérique + 8 enceintes).
Le 10 février 2017
Notre nouveau partenaire à Toulouse : Mix'Art Myrys
Le 17 mars 2017
Nos nouveaux partenaires possibles en + : Un pavé dans le Jazz + le GMEA
Le 18 mai 2017
Où en sont les négociations avec les producteurs de la musique ADAPTATIO. EH ! LES BEBES S'EVADENT !, dans le Sud-Ouest ? Eh bien, le GMEA à travers son nouveau directeur Didier Aschour me répond : « J arrive avec des projets et des artistes que je connais et souhaite soutenir. C est ce que je mets en place depuis mon arrivée. Je découvre en même temps des artistes et les intègre au projet petit à petit parce que je ne vois pas mon projet comme quelque chose de fermé. C est comme ça que j'entends le "centre". Je reçois de nombreuses demandes et c est normal. Je dois faire des choix tu l imagines. Je ne peux pas dire ok à tous ceux qui se présentent à moi. Donc je ne réponds pas forcément aux sollicitations si elles n entrent pas dans le projet du moment. Mais ça ne m'empêche pas d'en prendre connaissance et de laisser du temps à la rencontre de se faire ou pas. » Quant à Un Pavé dans le Jazz à travers son directeur Jean-Pierre Layrac, il me répond qu'il n'a pas d'argent pour (= qu'il ne veut pas) programmer cette musique dans ses programmations ni à Toulouse ni à Luz. Reste Mix'Art Myrys qui seul ne peut pas produire, prendre en charge, la totalité de la réalisation de l'oeuvre.
On se demande, quel est le réel problème ? pour tant nuire à l'épanouissement de la musique (savante) ? Simple : soigner ses propres intérêts dans une société où ses individus se méprisent, se haïssent, se craignent les uns les autres, car ils se disposent à obéir à une hiérarchie méritocratique (à être en attente de décision « supérieure » illusoire) pour « ne pas être abandonnés ». Qui en soit est un non-sens généré par la croyance profondément incrustée de l'hostilité de jouir de sa liberté (= de sa capacité à résoudre soi-même un problème).
Le 28 mai 2017
ADAPTATIO. EH ! LES BÉBÉS S'ÉVADENT !, reste donc une oeuvre morte-née-vivante (dans le coma depuis janvier 2017), dans les conditions données par Art Zoyd, qui attend ou vit son exécution (sa mort) définitive.
Ce que nous avons à offrir de la musique :
1. l'enregistrement stéréo (nonoctophonique) essai du 1er mouvement : la PRISON. 40:03 [mixé à la maison].
Les 3 autres mouvements de l'évasion : L'OURDISSION, L'ÉVASION, LA POURSUITE [POUR UNE MISE] À MORT sont dans le contexte de la coïncidence : impossible à être réalisés ! Nous donnons de la musique, l'ébauche sonique du 1er mouvement à écouter [fichier mp3, 91.6Mo] [recorded by Timothée Buquet the October 17, 2016 at Art Zoyd studio, and mixed by Myster Shadow-Sky at home]
2. la musique d'attente (avant l'arrivée des musiciens en concert) [réaliseé à la maison] : Le Paradoxe de l'Air, 16:26 [fichier mp3, 37.6Mo] (en stéréo nonoctophonique) [sculpted at home by Myster Shadow-Sky]
3. l'affiche des concerts annulés de la rentée 2017 [fichier png, 25.3 Mo]
Octobre 2017
Rien ne peut être fait pour 2018 avec cette musique commandée par Art Zoyd
ADAPTATIO - Eh! les Bébés s'Evadent !
Art Zoyd a annulé sa commande d'oeuvre tout en gardant une part de l'argent de la commande,
Plus rien ne peut être fait, à moins que Gérard Hourbette revienne sur sa décision.
Mais après une année, le travail original est perdu, ça serait quelque chose d'autre.Nothing can be done now for 2018 with this music from the North:
ADAPTATIO - Hey! Babies are Escaping!
Art Zoyd has decommissioned the commissioned music, and kept the money,
nothing can be done, unless Gérard Hourbette comes back from his decision.
But after a year, the original work is lost, it would be something else.
Notes générales
* algorithme : emprunt à l’ancien espagnol alguarismo = arithmetica = arithmétique. francisé d'abord en algorisme (XIIIe). que le risme se transforme en rithme (rhythme < rhythmus, donnant : rhyme -> rhime -> rime) sans y, pour détacher et à la fois s'attacher à ce que représente le rythme : les jonctions des temps par les espaces en mouvement.
** La loi de Poisson, si elle était tant appréciée par Xenakis, c'est qu'elle lui permettait de composer "des mesures itératives d'évènements sans répétition" : probabilité dans un laps de temps fini (la mesure) du comportement des évènements (les notes) : l'événement (entier et positif élément de l'ensemble des entiers Naturels) se produit k fois sur l'intervalle de temps [0 ; t] (=> toutes dimensions possibles de la mesure) : pratique pour une distribution des notes par l'automation (presque) imprévisible. Le calcul est en effet lié à l'automation de machines calculatrices ; c'est son aspect réducteur pour la musique : celle d'instruire un mécanisme prévisible même aléatoire = programmer la machine à s'exécuter. La limite de la procédure réside dans la limitation des paramètres compris dans l'équation : Xenakis utilisait les 4 paramètres formalisés par le sérialisme (Olivier Messian) : 12 hauteurs + 12 durées + 6 intensités + n identités timbres (suivant l'orchestre disponible). Pour l'histoire, la loi de Poisson a été introduite en 1838 par Siméon-Denis Poisson (1781–1840), dans son ouvrage : « Recherches sur la probabilité des jugements en matière criminelle et en matière civile » lisible à la Bnf Gallica ici : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110193z/f4.image.r=Recherches%20sur%20la%20probabilit%C3%A9%20des%20jugements%20en%20mati%C3%A8re%20criminelle%20et%20en%20mati%C3%A8re%20civile.langFR
*** débuté avec Oudission en 1982
***** débuté avec Les Ephémèrôdes Cardent des Chrônes en 1984
liens externes
. ART ZOYD : http://www.artzoyd.net
. Dernières nouvelles de l'Univers : http://www.ago.ulg.ac.be/PeM/News/index_f.php de l'Institut d'Astrophysique et de Géophysique (Bât. B5c) Quartier Agora Allée du 6 août, 19C B-4000 Liège 1 (Sart-Tilman) Belgique Tel.: 04.366.9774
. 2004, Carlo Rovelli dans son ouvrage, Quantum Gravity [ici article de présentation d'Aurélien Barrau : http://www.laviedesidees.fr/Un-monde-sans-temps-ni-espace.html] : suite à "un immense enchevêtrement de boucles [dynamiques] qui ne sont pas situées dans l'espace [qu'elles formes]" je continue depuis 1982 l'exploration et la réalisation de formes musicales vibratoires par des champs en connections dynamiques audible. 1982 : la turbulence dynamique spatio-temporelle de l'Ourdission, 1984 : l'enchevêtrement de boucles élastiques des Ephémèrôdes Cardent des Chrones, ...
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